Ce dimanche au Festival Everybody : le Battle Waacking, un spectacle en journée, des cours de danse et de bien-être, de l'art contemporain, des ateliers et installations participatives qui placent la représentation du corps au cœur de leurs projets !
Battle Waacking
16h-20h
Avec Mounia Nassangar, Princess Madoki, SonYa, Lei the night, Jimmy Yadat et Sofia
Tous les jours, découvrez l'art contemporain sous toutes ses coutures avec les artistes Madison Bycroft, le Collectif Lova Lova, A Normal Working Day (Delgado Fuchs et Zimoun), Éric Minh Cuong Castaing et Eva Nielsen !
Ce mardi au Festival Everybody : des spectacles en soirée, des cours de danse et de bien-être, de l'art contemporain, des ateliers et installations participatives qui placent la représentation du corps au cœur de leurs projets !
Spectacles
18h30-20h
Plutôt vomir que faillir de Rébecca Chaillon
L'intimité de l'adolescence revisitée entre doutes et désirs, découverte de soi et de l'autre.
Tous les jours, découvrez l'art contemporain sous toutes ses coutures avec les artistes Madison Bycroft, le Collectif Lova Lova, A Normal Working Day (Delgado Fuchs et Zimoun), Éric Minh Cuong Castaing et Eva Nielsen !
Ce samedi au Festival Everybody : des spectacles en journée et en soirée, des cours de danse et de bien-être, des rencontres, de l'art contemporain, des ateliers et installations participatives qui placent la représentation du corps au cœur de leurs projets !
Tous les jours, découvrez l'art contemporain sous toutes ses coutures avec les artistes Madison Bycroft, le Collectif Lova Lova, A Normal Working Day (Delgado Fuchs et Zimoun), Éric Minh Cuong Castaing et Eva Nielsen !
Pour le 5e volet de son cycle Faire corps au Carreau du Temple, Lauren Bastide reçoit Charlotte Puiseux, docteure en philosophie, autrice du récent essai autobiographique De chair et de fer, Vivre et lutter dans une société validiste », aux éditions La Découverte.
Membre du collectif handiféministe Les Dévalideuses et de l’association Handiparentalité, Charlotte Puiseux concentre ses recherches sur les Disability Studies (Etudes sur le handicap), les théories queer et le féminisme. Questionnant le rôle des institutions spécialisées et les remettant en question, elle défend une place des handicapé·e·s au cœur de la Cité. Elle examine au prisme de sa propre vie et de son quotidien la mise au ban des personnes handicapées par une société validiste et dont les structures sociales et institutionnelles entravent des vies, en opposition à une émancipation qu’elle-même recherche.
Malik Djoudi présente En backstage avec Léonie Pernet, Frànçois Atlas (de Frànçois & The Atlas Mountains) et Ed Mount
En backstage avec, ce sont trois artistes de la nouvelle scène électro pop française pour 1h30 de musique live et d’interview autour de la création, le tout mené par Malik Djoudi. Dans une ambiance chaleureuse et conviviale, Malik Djoudi invite le public à assister à ces rencontres exclusives, à partager en direct des moments uniques.
Malik Djoudi, résident au Carreau du Temple, accueille trois artistes de la scène électro pop française : Léonie Pernet, Ed Mount et François Marry de Frànçois and The Atlas Mountains, pour une soirée exceptionnelle !
Pour le quatrième opus du cycle de rencontres autour du thème « Faire Corps », Lauren Bastide convie la militante et écrivaine Daria Marx sur la scène du Carreau du Temple.
Co-fondatrice en 2016 de l’association féministe Gras Politique avec Eva Perez-Bello, Daria Marx lutte contre la grossophobie. Elle dénonce les nombreuses discriminations subies par les personnes gros·ses : maltraitance médicale, discrimination à l’embauche, précarisation, et leur abandon par la société. Daria Marx se bat pour une reconnaissance de cette oppression systémique souvent silenciée, au travers de ses actions militantes et de ses écrits. Elle a récemment participé à l’ouvrage collectif Fruits de la colère, Embras(s)er nos débordements, et a également publié en 2018 Gros n’est pas un gros mot : chroniques d’une discrimination ordinaire aux Éditions Flammarion.
Avec Lauren Bastide, elles évoqueront ces discriminations souvent mises sous le tapis, la mise en avant trop rare des personnes gros·ses, et les manières de lutter contre la grossophobie notamment en intégrant pleinement ce combat au sein des luttes politiques contemporaines pour l’égalité et la justice.
Pour la quatrième rencontre du cycle Faire Corps, Lauren Bastide invite la militante et écrivaine Daria Marx.
Dans une ambiance chaleureuse prompte à la bonne trouvaille, tous les habitants de Paris-Centre sont invités à proposer à la vente leurs effets personnels : vêtements, jouets, livres, ainsi que toutes les babioles sorties des armoires !
Les fonds collectés via la location des stands et les dons des visiteurs seront intégralement reversés au Secours Populaire afin de financer et de renforcer les nombreuses actions de solidarité auprès des plus démunis à Paris.
Les inscriptions pour les locations des stands s'effectuent uniquement à la mairie de Paris-Centre (rue Eugène Spuller).
Le Carreau du Temple accueille le grand vide-greniers organisé par les équipes des conseils de quartier Temple Enfants-Rouges et Sentier Arts et Métiers.
Quelle place occupe le corps dans les actions de désobéissance civile ?
Samedi 18 février 2023 de 15h30 à 16h30 - Entrée libre - Halle
Avec les Rencontres de la Sorbonne Invité·e·s : Bertrand Caltagirone – militant écologiste pour Dernière Rénovation, Charlotte Thomas-Hébert – chercheuse en sciences politiques et Matti Guerraz – militante pour STRASS, Inverti·e·s et Solidaires étudiant·e·s
Certains s’attachent aux filets de Roland Garros pour alerter sur la crise climatique, d’autres investissent seins nus la rue pour dénoncer la culture du viol, d’autres encore bloquent des lieux et des rues. Leur but : imposer un nouveau rapport de force, être entendu, vu et recentrer le débat politique sur des enjeux mis de côté. Prenant des formes extrêmement variées, de la simple action individuelle aux rassemblements de centaines de personnes, la plupart de ces mouvements ont en commun l’usage du corps comme outil de revendication. Que se passe-t-il lorsque les corps entrent en résistance ?
Avec l’aide de nos intervenant·e·s, militant·e·s et chercheur·se·s, nous allons décortiquer les gestes et symboles communs à ces actions et étudier la place donnée au corps dans cette “culture” de la désobéissance.
Rencontre dansée - Corps Jazz
Lundi 20 février 2023 de 14h à 16h - Entrée libre - Halle
Avec Patrick Acogny – chorégraphe, chercheur, pédagogue, danseur interprète, Patricia Alzetta – directrice du département danse du PSPBB, Wayne Barbaste – chorégraphe, pédagogue, directeur de la Compagnie Calabash, Aline Laignel – enseignante en histoire de la danse jazz et conférencière, Carl Portal – danseur interprète, chorégraphe et pédagogue, et les étudiants DNSP Danse jazz 2ème et 3ème année du PSPBB (Pôle supérieur d’enseignement artistique Paris – Boulogne-Billancourt)
Le corps jazz est dépositaire d’une culture ancrée dans l’histoire afro-américaine. C’est un corps à la frontière, à la croisée des rencontres, porteur de traces, le témoin de survivances de geste, qui répond à un contexte d’invisibilisation et de ségrégation. À travers des ateliers et de courtes restitutions d'écritures chorégraphiques, il s'agit de partager les multiples facettes de la danse jazz dans tous ses états.
Comment s’inscrit le processus créatif face aux corps malades ?
Lundi 20 février 2023 de 16h30 à 17h30 - Entrée libre - Halle
Avec les Rencontres de la Sorbonne Invité·e·s : Jane Evelyn Atwood – photographe, Julia Palmieri Mattison – photographe, vidéaste et Camille Ropert – Photographe, réalisatrice
Le corps malade est un sujet tabou et caché, mais pourtant présent autour de nous en permanence. La pandémie du Covid-19 a mis ce sujet au centre de l’actualité en isolant les corps malades et fragiles, des corps sains et solides. Mais d’autres éléments nous relient à ce sujet : en France, 1 femme sur 9 sera atteinte d'un cancer du sein au cours de sa vie et 1 femme sur 27 en mourra. L’accessibilité aux personnes à mobilité réduite est entrée dans la loi et 1% de la population est touché par la schizophrénie. Les maladies, visibles ou invisibles, sont des préoccupations contemporaines fortes.
Ces préoccupations touchant les artistes et les corps malades sont, depuis le XIXe siècle, une source d’inspiration pour nombre d’entre eux. Frida Kahlo alitée peint ses prothèses, ses blessures et ses membres meurtris ; Hervé Gibert décrit des images brutales de corps souffrants atteints du sida ; Araki photographie sa femme malade jusqu’à sa mort et Yayoi Kusama représente ses hallucinations intérieures depuis un hôpital psychiatrique.
Le processus créatif est différent pour chaque artiste. Certains veulent se confronter à la maladie, d’autres sont poussés par la nécessité de témoigner, ou encore par la volonté de sensibiliser à ce sujet. Qu’est-ce qui les a poussés à traiter ce sujet ? Était-ce une nécessité ? La place du corps est centrale dans leur représentation de la maladie. Que signifie-t-elle ? Quels impacts ce travail a-t-il eu sur eux ? Leurs œuvres sont aujourd’hui connues et montrées. Quelle est la place du spectateur dans leurs travaux ? Pensaient-ils dès le début montrer leurs œuvres au public ? Quelle est la place de la médiation ? Ce sont ces questions auxquelles nous allons tenter de répondre en prenant le processus créatif comme fil conducteur.
Tout au long du Festival Everybody, rencontres et débats questionnent la place du corps dans nos sociétés avec artistes, militant·e·s et chercheur·se·s.
A Normal Working Day | Day 3611, 2019 de A Normal Working Day (Delgado Fuchs et Zimoun)
A Normal Working Day, collectif regroupant le duo iconoclaste Delgado Fuchs (Marco Delgado, NadineFuchs) et le plasticien Zimoun, travaille autour de la question « Qu'est-ce qu'une journée normale de travail ? ». Ici, le corps n’est pas seulement vecteur d’identité, il devient le matériau de base, où performance, mouvement et création visuelle se lient. L'installation mi-sérieuse, mi-triviale, joue sur le registre de l’équivoque et questionne, avec sensualité et acuité, la représentation et la mise en scène du corps. Pour les pantins désarticulés de taille humaine présentés au Carreau du Temple les danseurs deviennent images, icônes, acteurs de leur propre métamorphose. Les images sont animées dans un mouvement permanent par un système mécanique. Les pantins, deviennent ainsi autant d’individus singuliers formant une foule qui bruisse.
Dans sa pratique, Madison Bycroft utilise la performance, la sculpture, la vidéo et le paysage sonore pour explorer le genre, la subjectivité, l'identité et le soi. Joystick remet en question les codes sociaux et esthétiques du jeu vidéo. Le projet multimédia, interactif et immersif imite un jeu vidéo, mais un jeu où la désorientation est un principe directeur qui induit en erreur, où un personnage principal désobéissant ne prend même pas la peine de battre les adversaires.
Un projet en résidence d'artistes à Ubisoft, éditeur français de jeux vidéo, dans le cadre du programme PACT(e) mené par Le Carreau du Temple
INSTALLATION VIDEO
Annie et BOXE d'Éric Minh Cuong Castaing
L'installation vidéo met en scène les "corps empêchés". Croisant performance et cinéma, il offre à ceux-ci des moyens de réappropriation. Pour cette installation, Éric Minh Cuong Castaing filme Kamal, victime d’un AVC, et Annie, résidente de La Maison de Gardanne, un centre de soins pour patients en fin de vie. Atteints de maladies chroniques, cette ancienne danseuse et cet ex-boxeur professionnel·le·s réinventent et redécouvrent l’intensité d’être pleinement mobiles, aidés par les danseur·se·s qui interviennent tel·le·s des prothèses humaines, sensibles, et relationnelles, palliant aux insuffisances motrices.
En écho avec la programmation du spectacle Forme(s) de vie du chorégraphe
PEINTURE ET PHOTOGRAPHIE
Eva Nielsen
Née en 1983, l'artiste franco-danoise Eva Nielsen vit et travaille à Paris. Diplômée des Beaux-Arts de Paris, elle participe à la 16e édition de la Biennale de Lyon (2022) ainsi qu'au 23e prix de la Fondation Pernod Ricard. L'hybridation est au cœur de son travail. Ses tableaux explorent la frontière entre peinture et photographie, ses paysages sont comme des images palimpsestes : déposée par strates, en couches successives, par surimpressions. L’image apparaît à la fois une et multiple, incertaine et flottante.
Pour le Festival Everybody, cinq œuvres de l'artiste seront exposées, fruits d'une résidence (initiée dans le cadre du programme PACT(E) - programme de résidences d'artistes en entreprises du Carreau du Temple) au sein de l'entreprise Paprec en Île-de-France. Cette série de cinq toiles nous donne à voir des espaces mêlant nature et architectures qui apparaissent ici comme des traces d’humanité passée, donnant lieu à de multiples lectures et interprétations où tous les questionnements semblent possibles.
Crédits photo : Aphakie, 2021 - 190x140 cm - Acrylique, encres et sérigraphie sur toile
Un projet en résidence d'artistes au sein de l'entreprise Paprec en Île-de-France, dans le cadre du programme PACT(e) mené par Le Carreau du Temple
EXPOSITION PHOTO
Collectif Lova Lova
Le Collectif Lova Lova est un duo de photographes et réalisateurs guyanais, formé par Léa Magnien et Quentin Chantrel, qui vit et travaille entre Cayenne, Marseille et Paris au grès des projets. Leurs photographies mettent en scène des personnages flamboyants et reflètent le regard que ces deux artistes portent sur un monde au sein duquel les cultures s’articulent, se confrontent, s’entremêlent et s’observent : un monde où les identités sont en perpétuelle évolution.
Pour le Festival Everybody, huit photographies grand format seront exposées sur les vitres de la Halle.
De l'art vidéo aux installations mouvantes, en passant par les expositions XXL, l'art contemporain investit Le Carreau du Temple pour questionner la place des corps dans la société contemporaine.
Pendant cinq jours, du 17 au 21 février 2023, leFestival Everybody présente des propositions artistiques, des cours de danse et de bien-être, des œuvres d'art contemporain, des ateliers et installations qui placent la représentation du corps au cœur de leurs projets !
SOIRÉE D'OUVERTURE : À l'issue des spectacles du vendredi soir, un DJ set sera assuré par le collectif OUINCH OUINCH pour enflammer le dancefloor (22h30-00h30) - Entrée libre
Spectacles
19h-19h50
Nos Corps Vivantsd'Arthur Perole
Un solo intime, une ode à l’émotion et à l'humanité exaltée.
Dansez comme au Crazy Horseavec Taïna de Bermudes, danseuse au Crazy Horse
COURS COMPLET
Art contemporain
Tous les jours, découvrez l'art contemporain sous toutes ses coutures avec les artistes Madison Bycroft, le Collectif Lova Lova, A Normal Working Day (Delgado Fuchs et Zimoun), Éric Minh Cuong Castaing et Eva Nielsen !