Avec Victor Marzouk et Hélène Barrier Dimanche 19 février 2023 de 13h à 20h Gymnase de la Forêt Noire - Adultes - 30€
À travers la déconstruction des privilèges sociaux associés aux masculinités, l’objectif de l’atelier est de redistribuer l’espace, le pouvoir, et la joie politique aux femmes.Une traversée des corps genrés bien au-delà du travestissement, comme un espace de liberté et d’empowerment !
L’inscription à l’atelier donne droit à une place gratuite pour le spectacle Manifesto Transpofágico de Renata Carvalho. La réservation pour l’atelier génère un code promo pour le spectacle.
Du croquis au dessin : capturer la dynamique des corps
Avec Joëlle Bondil Dimanche 19 février 2023 de 11h30 à 12h30 et de 14h à 15h Halle - Tout public (à partir de 10 ans) - 5€
Observer la foule et croiser des regards, voilà l’invitation qui sera adressée à chaque visiteur : celle de capturer par le dessin les mouvements de vie environnants, les gestes, les postures et les corps…
Calligraphie persane : l’harmonie du corps par le geste écrit
Avec Aragorn Boulanger Dimanche 19 février 2023 de 11h à 12h, de 12h30 à 13h30 et de 14h à 15h Halle - Tout public (à partir de 10 ans) - 5€
Une bulle de concentration qui permet au corps et à l’esprit de s’engager dans un exercice d’attention singulier. L’art de la calligraphie invite chacun à sentir sa propre respiration et à équilibrer sa posture pour découvrir une relation subtile entre les pleins et les vides. Un travail de composition graphique, où chaque geste est rythmé, et où chaque trace traduit une recherche d’harmonie du corps.
Avec Laurence Yared et Hadil Salih Tous les jours de 14h à 18h en continu (dimanche de 12h à 16h) - Halle - À partir de 3 ans - Entrée libre
Dans cette galerie des glaces, chacun retrouve son reflet mais diffracté, recouvert de pelages, de plumages, d’écailles... Hybridation homme-animal, mise à nu de nos corps, bestiaire géant et jeu graphique, les publics sont invités à se saisir de motifs animaliers pour transformer leurs reflets, se parer et s’animaliser toute à la fois.
Une réinterprétation graphique de l'installation Pixelbody réalisée en février 2022 par Laurence Yared en collaboration avec les étudiants de l'école Estienne.
Corps et territoires
Avec l'École de Condé Paris Tous les jours en continu - Halle - Tout public - Entrée libre
Les étudiants du Mastère Architectures & scénographie du luxe de l’École de Condé Paris présenteront un parcours d’installations dans la Halle représentant les liens entre corps et territoires. Leurs propositions aux approches multiples mettront le visiteur en marche et en mouvement, induisant la posture et interrogeant le rapport à la société, au genre et au pouvoir.
Samedi 18 février de 14h à 18h et dimanche 19 février 2023 de 12h à 15h30 en continu - Halle - Tout public - Entrée libre
Sujet tabou qui ne devrait pas l’être, les odeurs de vulve ou de vagin sont encore source de stigmatisation. Pourtant, chaque odeur est un message du corps, qui ne demande qu’à être écouté. Olfacto Gynéco est un projet porté par Elia et Jeanne Chiche, respectivement nez et designeuse. Leur démarche, Nez à soi, est de rendre plus accessible la connaissance olfactive, voire à la renseigner lorsque celle-ci manque.
Olfacto Gynéco s’intéresse aux besoins de parler des odeurs génitales. La zone vulvo-vaginale est en effet le carrefour de nombreux fluides et microbiotes, qui produisent une myriades d’odeurs, en fonction des cycles ou des habitudes de vie. Si certaines sont de simples marqueurs de notre identité, d’autres peuvent signifier un équilibre ou un déséquilibre de la flore.
Mais manquant de données capables de nourrir la science ou les vulves curieuses, comment progresser sur ces sujets ? Pendant le Festival Everybody, Elia et Jeanne vous invitent à participer à leur recherche : la construction d'un savoir odorant, empirique et tâtonnant autour des odeurs vulvo-vaginales.
Parfum & genre
Avec l'École Supérieure du Parfum Samedi 18 février de 14h à 18h et dimanche 19 février 2023 de 12h à 15h30 - Halle - Tout public - Entrée libre
Parce que le parfum est aujourd'hui au cœur de nos vies et qu'il tend à l'être demain et pour bien des jours à venir, les étudiants de l’École Supérieure du Parfum ont travaillé sur la fluidité des genres en parfumerie. L'avenir qui nous attend semble bousculer les codes et nous devons sans plus tarder nous adapter à ces changements bouleversants tant innovants que créatifs, qui ouvrent le champ des possibles à notre façon de nous parfumer.
Les étudiants se sont rapprochés de thèmes qui nous sont chers pour aborder la sexualité des parfums, allant de l’importance des coutumes dans le rapport à la parfumerie historique, en passant par l’influence de la publicité sur les notions de féminité et masculinité, puis le travail des parfums mixtes dans la formulation et enfin la création de jeux autour de la parfumerie non genrée.
Tout au long du Festival Everybody, des ateliers, des installations et des dispositifs interactifs vont invitent à questionner la place du corps dans nos sociétés.
Boutons sur le nez et le front, poils et seins qui poussent trop et pas assez, à l’adolescence, rien ne va. Où qu’on se trouve, on n’est pas à sa place : que ce soit dans le cadre de la famille ou dans celui du collège, les règles sont inadaptées aux corps et aux esprits en pleine transformation.
La performeuse Rébecca Chaillon garde de cet âge le goût amer d’une incompréhension généralisée. À partir de la rage ressentie alors, du rejet viscéral de l’ordre imposé, en somme, de ce qu’elle n’a pas digéré, elle crée Plutôt vomir que faillir, son premier spectacle pour un public adolescent. Replongeant dans ces années, dans la cantine d’un établissement scolaire, dans la cuisine d’une famille nombreuse non blanche, elle donne à voir le surgissement d’une intimité en construction, les tempêtes douces ou violentes qui déterminent appétits, désirs et dégoûts, les questions qui fâchent et qui forgent la personnalité.
Entourée de quatre jeunes interprètes, Rébecca Chaillon compose le spectacle qu’elle aurait aimé voir quand elle était au collège. Un spectacle dont la poésie et la force de subversion pourrait soigner notre corps intime et social.
L'intimité de l'adolescence revisitée par Rébecca Chaillon, entre doutes et désirs, découverte de soi et de l'autre.
Le Waacking est un style de danse disco funk né dans les années 70 dans les clubs gays de Los Angeles. Il s’est ensuite popularisée dans des émissions TV comme Soul Train, puis connaît un renouveau depuis une dizaine d’années. C’est une danse sociale à la fois glamour et funky qui allie des poses féminines avec des mouvements techniques de bras, de la musicalité, du groove mais aussi de l’attitude.
Créatrice de Waack in Paris et figure incontestée de la discipline en France, Mounia Nassangar anime un Battle Waacking avec la crème de la crème des Waackeurs, une compétition agrémentée de shows à l'occasion du Festival Everybody. Ce Battle 100% Waacking 2VS2 confrontera des duos de Waackeurs jusqu'à la finale explosive !
????? Juges : Princess Madoki, SonYa, Leï the night
? DJ : Sofia Stanić
? Mc : Jimmy Yudat
Programme
15h - 16h : Cours de Waacking avec Princess Madoki / initiation class w / P. Madoki
16h - 20h : Battles + jams
Vous souhaitez concourir à la Battle Waacking ?
Les duos de danseurs·euses sont invités à s'inscrire en ligne via le formulaire d'inscription. L'inscription au concours est à 5€ par danseur·euse (un code promo vous sera fourni).
Qu'est-ce que le Waacking ?
Le waacking a vu le jour dans les clubs LGBTQ+ avec les communautés Africaine-Américaine et LatinX dans le Los Angeles des seventies. Son nom est un dérivé de l’insulte « You wack » (tu crains). Cette discipline, grande sœur du voguing, se danse essentiellement avec les bras et permet à celles et ceux qui la pratiquent de se créer un personnage, d’affirmer son identité et d’explorer sa créativité. La gestuelle du waacking s’inspire de l’univers du cinéma muet et des stars hollywoodiennes telles que Greta Garbo ou Marilyn Monroe et détourne les codes du glamour associés aux classes supérieures blanches. Les waackeurs dansent sur la musique qui fait fureur à cette époque, le disco.
Après une longue période d’oubli, le waacking est revenu sur le devant de la scène dans les années 2010. Il se pratique aujourd’hui dans des événements et battles à travers le monde et plus seulement sur des sons disco.
Atelier maquillage avec Si Si La Paillette
Dimanche 19 février de 15h30 à 20h - Halle
Venez vous transformer avant le Battle Waacking avec Si Si La Paillette, une bande de filles qui sont tombées dans une marmite de paillettes quand elles étaient petites… Et qui n’en sont jamais sorties ! Avec leurs doigts de fées, un peu de folie, une grosse dose de bonne humeur et de la paillette bio à gogo, elles élaborent des maquillages éphémères scintillants pour créatures de la nuit !
Figure incontestée de la discipline en France, Mounia Nassangar anime une compétition de Waacking avec la crème de la crème des Waackeurs, un show performatif à l'occasion du Festival Everybody !
Une bulle de bien-être au Festival Everybody, entre moments de plaisir, dépassement de soi et attention à son corps !
Vestiaires et douches accessibles avant et après le cours. Se renseigner auprès de l'accueil/billetterie pour y accéder.
Ballet Sculpt
Avec Hélène Renard
Vendredi 17 février 2023 de 12h30 à 13h30
Le Ballet Sculpt est un cours entièrement dansé et chorégraphié qui mélange fitness et danse classique. Il permet de travailler le renforcement musculaire, l’équilibre, la coordination, la souplesse, le cardio et la posture en dansant sur de la musique dynamique. Ce cours intense vous fera transpirer dans la bonne humeur.
Le yoga pour les parents et les enfants permet l’harmonisation des énergies du foyer et le renforcement des systèmes vitaux… le tout dans une atmosphère joyeuse, rythmée par des chants, le djembé et des maracas. Amusez-vous en famille grâce au yoga et reconnectez-vous avec votre enfant dans un cadre ludique et privilégié.
Le vinyasa est une forme dynamique du yoga, accessible à tous. Ensemble, il s'agira de revenir à la base en travaillant autour du chakra racine et en explorant notre ancrage, nos fondations et notre lien avec la Terre.
Le cours signature de Cardio Dance de Julie Granger, avec un twist 80's ! Venez danser, transpirer et vous défouler dans ce cours inspiré tout droit de l'aérobic US des années 80, le tout sur une playlist ultra fun !
Swedish Fit, anciennement la Gym Suédoise, ce sont des cours collectifs en musique accessibles à tous, pour se remettre en forme, se muscler ou juste s'amuser. Une session complète de cardio et de renforcement musculaire sur une musique entraînante.
« Mon corps était là avant moi, alors que je n’avais rien demandé. Il est plus âgé que moi », dit Renata Carvalho qui annonce : « Aujourd’hui, j’ai décidé de me vêtir de ma propre peau. » Ce qui n’est pas anodin, puisque son corps, quasiment dénudé, est le sujet du spectacle et celui de sa vie entière.
Renata Carvalho est transsexuelle, né(e) au Brésil. Devenue comédienne, performeuse, dramaturge et metteuse en scène, elle pointe du doigt l’exclusion historique, l’hyper-sexualisation et la folklorisation du corps des personnes trans, elle raconte aussi avec pédagogie et émotion l’histoire des luttes trans.
Autoproclamée transpologue, une branche de l’anthropologie qu’elle a elle-même créée, elle dissèque la construction sociale et les représentations, tantôt fantasmées, tantôt pathologiques des femmes trans. D’où la rêverie de la transpophagie, l’idée de manger et de digérer ce corps, d’appeler à le regarder, sous des néons scandant obsessionnellement l’espace d’un mot : « Travesti ».
L’artiste invite à regarder ce corps trans comme une expérience, un laboratoire, un manifeste.
Un seule-en-scène coup de poing de Renata Carvalho pour célébrer le corps trans comme une expérience, un laboratoire, un manifeste.
Une occasion unique de découvrir de nouvelles disciplines émergentes et urbaines autour de la danse, au Festival Everybody !
Vestiaires et douches accessibles avant et après le cours. Se renseigner auprès de l'accueil/billetterie pour y accéder.
Voguing
Avec Seifiu, membre de la House of Ninja
Vendredi 17 février 2023 de 16h30 à 17h30
Duck walk, catwalk, hands, dips, spins, floor… Découvrez le voguing, danse inspirée des poses de mannequins des magazines féminins, et enflammez le dancefloor avec Seifiu !
Taïna de Bermudes, une des emblématiques artistes du Crazy Horse, le célèbre cabaret parisien reconnu dans le monde entier pour ses spectacles pétillants et hautement esthétiques, vous propose une heure d'immersion complète dans le monde du cabaret.
COURS COMPLET
Afrovibe dance workout
Avec Maryam Kaba (Afrovibe Dance Workout)
Samedi 18 février 2023 de 17h à 18h
Afrovibe est un concept de danse fitness qui combine chorégraphies, fitness et lâcher prise. Inspiré des danses africaines, afro-caribéennes et afro-brésiliennes, Afrovibe est un voyage dansé et musical à travers les pays imprégnés de la culture africaine.
Entre tenues du centre, maintien de vos appuis et travail de posture du corps, vous apprendrez à lâcher prise. L’art du talon est une appropriation du corps et de sa gestuelle par la chaussure elle-même. Laissez vos préjugés de côté et sautez le pas !
Originaire de la Corée du Sud, la danse K-Pop a envahi la pop culture. Quelque soit votre niveau, venez découvrir ce phénomène pour apprendre les pas de vos artistes de K-Pop préférés !
Tout le monde peut devenir un authentique breaker, rejoignez l’équipe ! Après un échauffement collectif, travail sur la musicalité et les mouvements de base (Top-rock, Footwork, Freeze…), et travail des figures circulaires appelées Powermoves. La fin du cours suivra par un cercle et un créneau d’entraînement libre !
Un cours basé sur les fondations techniques de la House Dance (jeu de jambes, pas) et la musicalité spécifique de la musique house ! Cette danse est un mélange de pas d'origines très diverses : le jacking’, le footwork, le lofting, la salsa, l'afro, les claquettes…
Quels gestes conserveriez-vous, si le mouvement devenait pour vous un enjeu ? Cette nécessité du geste réunit trois danseur·se·s et deux interprètes en perte de mobilité. Le chorégraphe déplace la notion contemporaine de "corps augmenté" dans un spectacle croisant performance et cinéma.
Atteints de maladies chroniques, une ancienne danseuse et un ex-boxeur professionnel·le·s réinventent et redécouvrent l’intensité d’être pleinement mobiles, aidés par les danseur·se·s qui interviennent telles des prothèses humaines, sensibles, et relationnelles, palliant aux insuffisances motrices. Les corps dits empêchés et corps dits virtuoses s’augmentent et s’influencent les uns les autres.
"Avec Kamal, ancien boxeur, par exemple, qui a perdu l’usage de ses jambes à la suite d’un AVC, nous avons mené différents ateliers autour du contact, de la danse d’aura, des fils invisibles, en particulier entreles mains, et, à un moment, je me suis collé à lui, derrière son dos, et d’un seul coup, il s’est mis à faire des gestes, des jams, d’une précision et d’une puissance impressionnantes. À la fin de cette séquence, il nous a dit : « Ça faisait trente ans que je n’avais pas fait de la boxe ». À cet instant s’est découvert cet enjeu de donner à voir un corps qui retrouve sa propre danse, ce ressenti unique d’une personne qui retrouve ses gestes." Extrait de l'entretien accordé par Éric Minh Cuong Castaing à Mélanie Drouère pour Maculture.fr - lire la suite de l'entretien ici
En écho à la danse, un film nous plonge dans l’expérience, partagée avec les résidents en hôpital de jour du Centre de soins palliatifs près de Marseille. C’est un espace d’intimité et de composition collective pour donner vie à un sentiment oublié : celui d’être libre, à l’heure où la question du handicap demeure aux marges de nos sociétés technoscientifiques et compétitives.
Une performance sensible d'Éric Minh Cuong Castaing qui réunit corps empêchés et corps virtuoses dans un acte de réappropriation.
La Compagnie Les Chemins de la Danse pense l’intime et l’universel. Avec des danseurs·ses de toutes sensibilités et mobilités perceptives, elle explore les questionnements identitaires à travers le mouvement dansé.
Prenant appui sur la composition instantanée et de « scores », mis en avant par Nancy Stark Smith, les danseurs·ses improvisent selon des principes organisateurs prédéfinis. D’une masse, d’un déplacement uniforme émerge de nouvelles perceptions sur l’espace qui nous entoure. D’autres couleurs prennent forme, se transforment, jusqu’à l’éclosion de personnalités. Dans une rencontre sensible avec le public et dans la simplicité se dégage l’humanité de chacun·e, favorisant l’altérité.
Partenaires à part entière, les musiciens Nicolas Grupp et Patrick Biyik improvisent avec les danseurs·ses à partir d’une partition partagée dans laquelle le mouvement inspire la musique tout comme le son souligne la danse. Il s’agit alors de redynamiser le lien social et le rapport à l’autre, comme la possibilité de réinvestir une place, personnelle, individuelle, intime, au sein de l’espace public.
Lorsque nous parlons, un grand nombre de gestes accompagnent notre discours : une rotation de la main, un hochement de tête, un plissement de la bouche, un haussement de sourcil, un clignement des yeux… ces gestes sont universels.
Avec Nulle part & partout, un groupe hétérogène, d'une cinquantaine de danseurs·ses amateurs, réinvestit de façon poétique les gestuelles quotidiennes. Une danse née de cette matière corporelle à la fois impalpable et omniprésente, une danse diffuse, qui a lieu « nulle part & partout », à chaque instant.
La chorégraphe Myriam Gourfink s’intéresse avant tout aux passages, aux chemins, aux transformations, les gestes collectés n’ont pas vocation à être restitués comme images ou comme signes. Il s’agit donc pour les danseurs·ses amateurs de faire l’expérience d’être à l’intérieur du temps, sentir l’écoulement du temps sans le compter, vivre un temps qui donne le sentiment d’une éternité. Faire un point d’arrêt pour s’autoriser à sentir. S’émanciper.
Une performance de Myriam Gourfink avec une myriade d'amateurs, qui réinvente la gestuelle quotidienne en poésie.
« Revenir à cette essence du mouvement. Sortir du cadre institutionnel. Assumer ce rôle d'amuser la galerie. »
Avec Happy Hype, le collectif OUINCH OUINCH x Mulah invite le public à plonger dans une transe carnavalesque. Entourés du public, les corps se croisent, se frôlent et s'agrippent sur le dancefloor.
La pièce est inspirée du principe du Hype Call, une pratique issue du Krump, danse apparue dans les années 90 dans les banlieues de Los Angeles. Sur fond de musique issues des cultures afro et Hip-Hop, portée par l'électrisante Mulah, ce spectacle n'est rien d'autre qu'une grande fête jubilatoire. Comme un appel au débordement d’énergie, le·la danseur·se qui entre dans le cercle de danse invite celles et ceux qui l'entourent à contribuer à l'apparition d'une transe collective. Sous les encouragements de ses pairs et du public apparaît alors une danse puissante et ultra expressive. Une danse habitée.
L'univers décalé fashiono-clubmedo-moyenâgeux des OUINCH OUINCH, fait de jupes noires en dentelles et de lunettes de soleil, mêle ici des danses traditionnelles réinventées aux danses de clubbing dites actuelles.
Le public est invité à une expérience unique : le temps d’un instant, être hors de soi et plonger dans une euphorie collective.
SOIRÉE D'OUVERTURE : À l'issue de la représentation du vendredi soir, un DJ set (de 22h30 à 00h30) sera assuré par le collectif OUINCH OUINCH x Mulah pour enflammer le dancefloor !Entrée libre
Pass Soirée
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