La Possession

En partenariat avec le Centre culturel suisse à Paris et le Théâtre Nanterre-Amandiers, centre dramatique national

Dans un monde d’une froideur clinique, une femme en détresse s’essaye à une expérience : se déposséder, se déprendre, se désincarner pour migrer dans une autre forme. Peut-on avoir peur au théâtre comme au cinéma ? De prime abord réaliste, La Possession bascule insidieusement vers la fable horrifique.

Convaincue qu’on lui a jeté un sort, une jeune femme, pour refaire sa vie, tente de s’échapper en se transformant en un rocher, une plante, un animal. S’installe peu à peu un système sorcier hérité de l’univers des contes et du film d’épouvante.

Adossé à ce vecteur fictif de colonisation d’autres corps, qu’abondent de nombreuses références cinématographiques, le quatuor d’interprètes évoque la peur d’être remplacé, l’envie de l’autre ou d’être l’autre... Témoignant d’une dérive vers un monde de science-fiction, où se creuse le fossé entre nos aspirations profondes et les injonctions politicosociales, François-Xavier Rouyer en appelle à notre énergie vitale, nous enjoint à regarder, à la marge des emblèmes de la réussite capitaliste, d’autres voies et modèles possibles.

Dans cette pièce de théâtre à la limite de la fable horrifique et de la science-fiction, François-Xavier Rouyer explore l’altérité et nous enjoint à regarder, à la marge des emblèmes de la réussite capitaliste, d’autres voies et modèles possibles.

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Diverti Menti

Diverti Menti renouvelle avec intelligence l’approche de la composition scénique.

Un long filet de sable blanc se déverse voluptueusement sur le plateau, tel un sablier abstrait, unilatéral, impossible à retourner. Le corps dansant apparaît d’emblée comme un instrument au même titre que le piano à queue, la guitare électrique et le tuba. Ainsi naissent les joutes entre musiciens et danseuse, qui n’hésitent pas à converser des yeux, tissant un autre réseau, rare en chorégraphie, celui du regard.

Les mouvements giratoires de la danse répondent à une polyphonie effrénée ; chaque posture, chaque élancement est d'une précision implacable, quasi-mathématique, comme souvent chez Maud Blandel, or le geste n’en revêt pas moins une exquise délicatesse, une sensualité jusqu’au bout du pied qui se pose au sol. Musique et danse dialoguent, sons et mouvements s’accordent pour devenir un ensemble inextricable, jusqu’à ce que le corps devienne musique et la musique, danse. C’est un corps entier, qui s’agite, s’arrête, reprend, respire. Diverti Menti diffuse une grâce et une beauté qui rendent hommage à l’un des génies de l’histoire de la musique et qui, en creux, semblent murmurer de ne pas oublier de se divertir (au sens du latin : se laisser détourner de ses habitudes). Un ravissement.

Savoureuse réorchestration du célèbre Divertimento K.136 de Mozart pour un quatuor inédit – trois solistes de l’Ensemble Contrechamps de Genève et la stupéfiante danseuse Maya Masse !

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Dans le Mille

En partenariat avec L'étoile du nord, dans le cadre du festival Avis de Turbulences

Bo / Kevin Jean n’en est pas à son galop d’essai en matière d’écriture scénique alternative aux codes hétérosexuels dominants, participant du renouvellement des imaginaires. Dans ce trio, Bo / Kevin Jean convoque des danses rarement interprétées par des personnes assignées hommes à la naissance, en explorant des éléments de l’univers de l’érotisme à rebours de la répartition genrée des rôles – la femme séduit, est regardée ; l’homme regarde, est séduit.

En 2019, La Poursuite du Cyclone irradiait une colère enfouie mais vibrante, métissant dans sa danse les questions de l’intime et du politique. Dans le mille commence là où s’arrête La Poursuite du Cyclone. Ce nouvel opus, tout en poursuivant une quête de formes performatives alternatives, puise dans un autre registre émotionnel que celui de l’exaspération ; l’affirmation d’un refus : être un homme.

Au coeur de cette performance, le chorégraphe part de ses expériences pour examiner les enjeux de l’exposition de son corps propre et de celui de ses partenaires, chacun dans sa zone de puissance. Dans le mille met parallèlement en échec le schéma binaire entre masculinité et féminité, en choisissant l’opposé de la « virilité » : la vulnérabilité, la sensibilité, le don de soi, drainant ainsi une nécessaire transformation des représentations.

Avec « Dans le mille », Bo / Kevin Jean ouvre l’hypothèse d’un soulagement des comportements pré-dévolus aux femmes comme aux hommes !

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S’élever c’est d’abord être à terre

Dans le cadre des Rencontres inattendues, plus de 80 œuvres du Fonds d’art contemporain - Paris Collections s’exposent dans plus de 50 lieux du quotidien dans tout Paris, pour provoquer la rencontre entre le grand public et des œuvres de ce patrimoine commun encore peu connu. Ces œuvres sont à découvrir en bas de chez soi, du 4 octobre au 15 décembre 2021.

À cette occasion, l’installation vidéo - performance S'élever c'est d'abord être à terre, de Ludivine Large-Bessette et Mathieu Calmelet est visible au Carreau du Temple, le samedi 27 novembre, de 11h30 à 16h30.

Alors que le vide-greniers se tiendra dans la Halle du Carreau du Temple, les visiteurs·euses et curieux·euses pourront découvrir l’installation vidéo - performance de ces deux artistes dans l'espace -1 (sous-sol). L’installation vidéo est participative, le public pouvant l’activer avec de la réalité augmentée. Deux fois dans la journée, une performance de Mathieu Calmelet et Ludivine Large-Bessette investira l’installation vidéo.

L'installation vidéo

S'élever c'est d'abord être à terre détourne les codes du retable d'église. À la cérémonie religieuse est substituée la cérémonie artistique, la performance des corps, qu’ils soient représentés sur les écrans vidéo et les tablettes tactiles ou performants dans l'installation. Ce polyptyque vidéo - performance propose une autre lecture de la composition traditionnelle du retable et étudie ainsi les modes de représentation et le poids des symboles dans notre société contemporaine saturée d’images. Par l’utilisation de la danse contemporaine et de la réalité augmentée, l’œuvre engage le corps des spectateur·trice·s dans une déambulation contemplative et ludique.

L'œuvre vidéo S'élever c'est d'abord être à terre, a été acquise en 2021 par le Fonds d’art contemporain - Paris Collections. L'œuvre est exposée pour la première fois depuis son acquisition par la Ville sous la forme d’une installation vidéo participative avec réalité augmentée et performance.

La performance

Les artistes investiront l'installation vidéo à l'occasion de deux performances :

  • 1ère performance : 14h30 (durée : 25 minutes)
  • 2ème performance : 16h (durée : 25 minutes)

Les artistes

Ludivine Large-Bessette (née en 1987, Fontainebleau, vit et travaille à Paris) s'intéresse au corps et à ses représentations. Elle a multiplié les collaborations avec des danseurs qu'elle a filmés et invités à diverses formes de performance en dialogue avec ses vidéos.

Co-auteur du projet, Mathieu Calmelet (né en 1986, La Tronche, vit et travaille à Roubaix) est chorégraphe-interprète et musicien.

Une installation vidéo participative, accompagnée de performances live, pour interroger notre relation aux images, aux symboles et aux icônes !

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Le Souper

En partenariat avec le Centre culturel suisse à Paris

Comédienne, performeuse, ventriloque, transformiste d'exception, Julia Perazzini imagine un dialogue avec son frère décédé. L'artiste invoque et désamorce sa propre peur de la mort pour l'offrir en miroir aux spectateurs et, une fois n'est pas coutume, l'envisager comme une puissance d’activation du vivant.

En conversant avec l'absent, Julia Perazzini élabore une déroutante alchimie entre souffle, corps et voix, qui réveille notre relation avec l’invisible, l’irrationnel, donne la parole aux recoins endeuillés ou figés de nous-mêmes. Elle méduse l'étrangeté, voire la légitimité, de la frontière entre ce qui est dit « absent » et dit « présent ». Pouvons-nous transgresser les règles des possibles connexions entre les êtres ? Il y va de la constitution d'un « nous ».

Elle n'a pas connu ce frère, disparu avant qu'elle ne naisse. C'est ainsi dans un grand vent de liberté formelle, mais avec pudeur et délicatesse, que l'artiste s'autorise à rêver que la vitalité de son frère pourrait réinsuffler de la vie là où les choses sont gelées, révélant ce terreau créatif et incorruptible de nos parties enfouies. Passé et présent, conscient et inconscient se cognent, laissant jaillir par étincelles les failles des mosaïques qui nous composent, tous ces petits « jeux » au sens mécanique qu'explore méticuleusement l'artiste. Sur une scène presque vide se livre un jeu qui flirte avec le « non-jeu », soulignant la finesse de l'écriture, et, surtout, la déconcertante performativité de Julia Perazzini. Une sublimation psycho-magique de nos angoisses.

Artiste d’exception aux multiples talents, Julia Perazzini imagine dans « Le souper » un dialogue avec son frère décédé, transformant notre peur commune de la mort en puissance d’activation du vivant.

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Voix Intérieures (manifeste)

Un danseur, un musicien, une militante activiste, tous trois Congolais. En un triangle de corps et de langages poétiques, ils restituent ces milliers de voix qui bouillonnent à l’intérieur de leur pays sans pouvoir s’exprimer, tant de rêves étouffés dans la brutalité.

À l’appui des mouvements citoyens exigeant les droits les plus élémentaires - la mise à disposition d’eau et d’électricité pour tous, la protection, l’éducation, le vote libre (et non truqué), la fin de l’enrôlement forcé d’enfants dans l’armée pour dénicher des matières premières -, Yves Mwamba s’offusque à voix haute contre le mépris des dirigeants du Congo. C’est un hommage au militantisme d’une jeunesse engagée mais bafouée, pacifiste et déterminée, non violente et pourtant brûlée vive. Dialoguant avec l’espace scénique qui évolue comme au fil d’une marche militante, les trois performers convoquent et dévoilent, dans les entrelacs des cordes vocales, dansées et musicales, un contexte politique désastreux.

Yves Mwamba fait bouger des corps pour pallier aux mots qui manquent, avec son vocabulaire chorégraphique teinté de krump, de sa danse ténébreuse et solaire, rugueuse et sulfureuse.

Sur une création sonore composée d’ambiances et de voix recueillies au Congo, ce surprenant trio insuffle une énergie vibrante, une cohésion vitale, qui résonnent avec une richesse humaine universelle : la persévérance à se tenir debout.

Dans sa création « Voix intérieures (Manifeste) », le chorégraphe Yves Mwamba convoque un danseur, un musicien et une militante activiste pour un manifeste contre l’absurdité du monde.

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Je rentre dans le droit chemin …

Dans le cadre de Danse Dense #lefestival

Nom complet du spectacle : Je rentre dans le droit chemin (qui comme tu le sais n'existe pas et qui par ailleurs n'est pas droit)

Pourquoi, quand et comment la nudité a-t-elle un sens sur scène ? Enfin, un chorégraphe défie frontalement la question, sans détour ni métaphore, dans une forme pétillante, entre fausse conférence et danse vraie.

Dans le droit chemin de sa première pièce Mieux vaut partir d’un cliché que d’y arriver, présentée au Carreau du Temple en 2018, Sylvain Riéjou poursuit son exploration vidéo-chorégraphique de l’acte de création en partageant l’intimité de ses questionnements d’artiste.

Publiée sur Internet en 2010, sa vidéo-danse Clip pour Ste Geneviève, pourtant chaleureusement accueillie par le public lors de festivals de danse, tombait sous le joug d’une interdiction de circuler sur la toile. Législateur : Dailymotion. Motif invoqué : caractère pornographique.

S’est alors dessinée une interrogation sur les paradoxes de la représentation du corps dans l’art et dans la publicité : pourquoi un corps donné à voir dans toute sa vérité, donc nu, sur un plateau, dans une visée artistique, choque-t-il bien davantage - les enfants comme les adultes - que toute vidéo aux allusions clairement sexuelles, à but commercial ?

Imposant challenge pour un interprète qui a mis des années à abdiquer devant le fantasme de l’Apollon athlétique et ténébreux pour accepter son corps blanc, mince et imberbe, ce nouveau solo tente de démêler la confusion fossile entre nudité et obscénité.

Dans un climat chatoyant d’autodérision, déjouant le parfum de scandale que suscite le nu, Sylvain Riéjou propose son lexique du dénuement et le met en pratique avec son propre corps pour mettre en évidence que c’est là l’acte le plus engagé et engageant du danseur. Il nous rappelle, avec une étonnante pudeur, que toute création artistique est intrinsèquement une mise à nu.

Avec « Je rentre dans le droit chemin... », Sylvain Riéjou défie la question de la nudité sur scène, entre fausse conférence et danse vraie !

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VACA

Dans le cadre de Danse Dense #lefestival

Fable écologique à la fois documentaire et fictionnelle, Vaca sonde les paradoxes de la figure de la vache, à la fois bucolique et ancestrale, mâcheuse et triviale. Paysage dansé et mental, la pièce pose la question du vivant réduit à l’état de matière et met à jour une dialectique de temporalités : celle de l’animal, organique, vécue, non spectaculaire, et celle de l’homme, organisée, mécanisée, mise en scène. Comment force-t-on un corps à se standardiser en bouts de viande ?

Star du salon de l’Agriculture, éminemment présente dans la mythologie, l’art, le rayon boucherie du supermarché et divers concours, la vache est partout. Vaca s’appuie sur l’animal millénaire, emblème de l’emprise de l’homme sur le vivant, ici vénéré, là abattu, pour investir une étude plus large sur le rapport de l’homme à la nature. Ethologie dansée de la vache pour en tirer le portrait d’un être, d’une temporalité, d’une sensation, le duo propose un regard aussi discursif que sensible.

Les danseuses expérimentent, déploient et traversent des états de corps emprunts de lenteur, apathie, et échos de mouvements, d’une part, glissant vers la mécanisation et le rythme cadencé d’autre part. La succession de tableaux, dont une line dance inspirée du folklore cow-boy induit les interprètes dans une connivence implicite - telles des vaches dans un pré-traversées par ces figures les danseuses dressent subrepticement un parallèle entre le corps de la femme standardisée et celui de la vache.

Fable écologique à la fois documentaire et fictionnelle, Anna Chirescu élabore dans « Vaca » une écriture chorégraphique partant d’une observation minutieuse de la physicalité animale, et puise dans des sources théoriques, visuelles et sonores sur et autour de la figure de la vache.

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Déflié chorégraphique

Dans le cadre du Festival Kalypso

Mourad Merzouki, l’un des grands maîtres français de la danse hip-hop, invite quinze danseurs de renom, d’horizons divers - break, house, krump, new style, ou encore cirque, danse classique et danse contemporaine - à performer à la manière d’un battle, en plein cœur du public, sur un podium dans la grande Halle.

Un solo de trois minutes dans un espace scénique de type catwalk, à l’image d’un défilé de mode, tel est le challenge que Mourad Merzouki propose à des danseurs d’exception, références dans leurs domaines respectifs. À l’issue des performances, un jury de professionnels nomme un lauréat, qui reçoit une récompense.

Le défilé chorégraphique de Kalypso, c’est une occasion unique pour les publics de toutes générations de découvrir l’univers de danseurs reconnus à l’échelle internationale, dans une atmosphère tout aussi conviviale et festive pour les artistes, qui s’installent dans de hauts lieux du patrimoine, écrins extraordinaires pour présenter les talents de la danse hip-hop. Fil rouge de la soirée, un maître de cérémonie présente les danseurs et rythme les performances sur la musique live de DJ Tismé.

Habitué des lieux publics, Mourad Merzouki a pour coutume de bousculer le rapport du public aux lieux investis, à leurs architectures et à la danse hip-hop. Il rapproche les univers de la danse et du lieu hôte, et Le Carreau du Temple en est un de choix !

Un rendez-vous incontournable de danse initié par Mourad Merzouki dans la grande Halle du Carreau du Temple !

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Transversari

Il y a une constante jubilatoire dans les pièces de Vincent Thomasset : c’est toujours tout à la fois intelligent et simple d’accès, enlevé, souriant ou drôle ; il a inventé une entrée multi-strates comme on en voit peu sur scène. Le maestro des entrelacs entre les gestes et les mots se penche ici sur notre rapport aux images et aux identités de genre, questions admirablement « prises en corps » par son complice Lorenzo De Angelis.

Un phénomène identifié au Japon tisse un lien entre ces deux sujets, celui de l’hikikomori, ou la réalité psycho sociale de personnes – principalement des hommes – qui vivent coupées du monde, réfugiées derrière leurs écrans, situation à laquelle une profonde inadaptation aux standards des masculinités peut prédisposer. Transversari est pensée comme une ode au mouvement, à la traversée des sens, des formes et des identités. Fascinant, Lorenzo De Angelis colore le tout de sa composition corporelle en travaillant autour de différents états de corps – domestique, incarné – qui se répondent et restituent ces sédiments déposés là, avec une infinie délicatesse, jusqu’au dénuement.

▶ ATELIER « DESSIN DE LA DANSE autour de LÉGENDES »

avec Lorenzo De Angelis, danseur, et Hadil Salih, plasticienne

Lorenzo De Angelis, danseur et complice de Vincent Thomasset, propose durant cet atelier de travailler à partir de Légendes (son projet collaboratif et curratorial), qui se base sur une boucle chorégraphique constituée à partir de figures emblématiques allant de Marilyn Monroe à Hijikata en passant par Rodin, Mohamed Ali et d'autres... Dans un mouvement lent et continu, il opère un « morphing trans-identitaire » ou incarnation mouvante reliant par la danse ces différentes images collectées.

Par le dessin, nous tenterons d’interpréter ces figures et leurs gestuelles, d’en restituer l’expressivité mais aussi peu à peu de dessiner, d’exprimer le mouvement et la danse en opérant des choix graphiques. Le cadrage, le travail de perspective, le choix du point de vue en réalisant parfois des focus sur différentes parties du corps feront partie des sujets techniques abordés.

Les différentes productions pourront former peu à peu une Légende, soit un matériel issu de la chorégraphie, venant enrichir le projet de collection au cœur de ce travail chorégraphique questionnant la passivité, le partage, l’autorité, la transformation dans l’immuable, la mémoire, le rapport au temps ou aux images…

Infos pratiques :

  • Lundi 24 janvier 2022 de 19h à 21h30
  • Niveau dessin : intermédiaire et avancé / Techniques mixtes
  • Jauge : 10 personnes
  • Tarif atelier : 15 euros + 1 place offerte pour le spectacle Transversari à la date de votre choix (dans la limite des places disponibles)*

Réservez votre place d'atelier : cliquez ici !

*Suite à votre commande, vous recevrez un email de confirmation qui contiendra un code. Vous pourrez l'utiliser lors de votre réservation de la place de spectacle en sélectionnant le tarif "Réservation Participants Atelier".

Nouveau virage pour Vincent Thomasset, accueilli en 2019 au Carreau du Temple avec Ensemble Ensemble. À la croisée des codes du théâtre et de la danse, Transversari s’articule autour de la présence d’un homme cloîtré chez lui, à regarder des écrans, incapable de participer au monde qui l’entoure. Peu à peu, il passe de l’autre côté du miroir, incarnant les images qui défilent devant ses yeux.

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