Synopsis : Quelque part au temps jadis, il était une fois un brave homme veuf et père de quatre jeunes gens. Une fille prénommée Belle, qui était aussi bonne et dévouée à son père que ses deux aînées étaient ingrates et chipies. Le fils, un sympathique bon à rien allait toujours flanqué de son ami Avenant, épris de Belle qui se refusait au mariage. Un soir qu’il revenait à son foyer, le père s’égara et trouva refuge dans une demeure enchantée qui lui offrit dîner et repos. Alors qu’il repartait, il cueillit une rose pour Belle, déchaînant le courroux du seigneur des lieux resté jusqu’alors invisible. Un être fabuleux mi-homme mi-bête, qui le condamna soit à mourir soit à lui livrer une de ses filles. Ainsi commence le conte qui mettra la Belle en présence de la Bête, lui révélant du même coup l’irrésistible et mystérieuse puissance de l’amour.
Cinéaste-poète, Jean Cocteau tisse un chef-d'œuvre enchanteur d’une grande beauté en noir et blanc, à partir de cet illustre conte cruel, dans une atmosphère qui tient du merveilleux et du surréalisme.
Rencontre
La projection sera suivie d'une rencontre avec des professionnel·les ayant participé aux films : réalisateur·rices, acteur·rices, décorateur·rices…
En savoir plus sur le film :
La Belle et la Bête est la première véritable adaptation cinématographique du conte écrit en 1757 par Mme Leprince de Beaumont.
Les extérieurs du monde de Belle sont largement éclairés car réels, et ses intérieurs sont influencés par les peintures des maîtres flamands et hollandais comme Vermeer (1632-1675). Le monde de la Bête, sombre et mystérieux, se réfère quant à lui aux gravures de Gustave Doré (1832-1883).
Le film a été tourné durant l'après-guerre (du 27 août 1945 au 11 janvier 1946), où les conditions de travail n'étaient pas des plus confortables : difficultés à trouver de la pellicule, restriction d'électricité, pannes de courant ou encore absence de lumière de studio.
Jean Marais a imaginé au départ une Bête à tête de cerf, mais le costumier Christian Bérard lui a démontré que la Bête devait effrayer et ne pouvait être en conséquence que carnivore. Le fameux masque fut confectionné par Pontet, un grand perruquier parisien. Le maquillage très pénible prenait cinq heures chaque jour : trois heures pour le visage et une heure pour chaque main.
Le film a inspiré plusieurs œuvres artistiques par la suite : le dessin animé des studios Disney, un opéra de Philip Glass en 1995, un ballet de Ethery Pagava en 2013, le film fantastique La Forme de l'eau de Guillermo Del Toro
Le film a remporté le Prix Louis-Delluc en 1946, récompense annuelle et unique pour le cinéma français à l'époque.
Un chef-d'œuvre enchanteur en noir et blanc, où Jean Cocteau revisite le conte de la Belle et la Bête entre merveilleux et surréalisme.
Danser avec Duras, pour elle, grâce à elle ! Thomas Lebrun évoque la grande romancière, en gestes poétiques et en facéties bien inspirées. Un délicieux (auto-)portrait sur fond de conversations avec Bernard Pivot, dansé avec une délicatesse infinie.
« Comment voulez-vous que je me décrive ? Les portraits de moi, c’est les autres qui peuvent les faire ! » Marguerite Duras répond à Jean-Marc Turine (sur France Culture). Et son phrasé, c’est déjà de la musique. Depuis longtemps, Thomas Lebrun ne cesse d’écouter un recueil d’interviews radiophoniques de Marguerite Duras, enregistrées par l’INA sur plusieurs décennies : « Elle y partage des moments de vie, son regard sur la société, son rapport à la musique, sa vision de la création… ».
Thomas Lebrun capte les vibrations subtiles de l’écrivaine, se laisse envahir par cette personnalité hors du commun et lui répond par sa propre présence, son regard et ses gestes, en allant au bout du dépouillement. Et le portrait qu’on voit est peut-être celui du chorégraphe lui-même qui dévoile toute sa sensibilité dans l’art d’évoquer l’autre à travers sa propre danse. Aussi Thomas Lebrun invite les plus intimes des émotions à monter doucement à la surface, sur des chansons et musiques sublimes (Jeanne Moreau, The Who, Schubert…) et sous la magie d’éclairages en clair-de-lune. Quand il se glisse dans quelque personnage durassien, il sait en plus nous amuser, grâce à une autodérision à toute épreuve !
Ce spectacle a reçu le Grand Prix du Meilleur spectacle chorégraphique de la saison 2023 du Syndicat Professionnel de la Critique Théâtre, Musique et Danse.
Atelier de pratique chorégraphique et théâtrale avec Thomas Lebrun
Vendredi 30 janvier 2026 de 19h à 21h / Salle de spectacle / Adultes, tous niveaux
Appel solitaire, clameur collective, boucan du corps. Quand le cri dessine une forme de résistance, la voix et les rituels deviennent des outils de la transformation, où cinq danseur·euses explorent les tensions entre contrôle et émancipation.
L'acte de crier peut être salutaire et salvateur. Un cri d'alarme, émis dans l'urgence, tantôt intime, tantôt public, seul ou en communauté. Un cri qui oscille entre douleur, joie et protestation... Alors crions, seul·e ou ensemble, fortement, subtilement ! Benjamin Kahn passe ici à l'écriture collective, et il s'y est préparé par une série de solos dont Bless the Sound that Saved a Witch like me pour Sati Veyrunes (présenté dans le cadre du Festival Everybody 2024), petite anthologie du cri à la lisière du solo et du chœur.
Ce « son » de la voix humaine revient donc dans une « (caco)-polyphonie des émotions » où Benjamin Kahn interroge les limites de l’affirmation de soi en explorant les relations entre corps, voix et rituels comme outils de transformation et de résistance. Son écriture rebondit sur Michel Foucault et son analyse des mécanismes de pouvoir, Gilles Deleuze et son approche du désir comme force créatrice ou encore Judith Butler et sa réflexion sur la performativité des identités.
Entre unissons et présences solitaires, un quintette humain interroge comment nous habitons notre corps, nos relations et nos espaces de liberté. Une quête identitaire « fluide » à partir de figures hybrides, mouvantes et troublantes, jusque dans des rituels contemporains inspirés de traditions calabraises.
*Cri(s)... titre provisoire
Benjamin Kahn réunit cinq danseur·euses pour explorer la force du cri, entre tension, rituel et affirmation de soin !
Dans le Las Vegas des shows clinquants, un « oratorio techno » chanté et dansé par Marlène Saldana, à partir du film culte Showgirls de Paul Verhoeven qui suit le personnage de la danseuse Nomi Malone. Une revanche féminine, portée par un humour ravageur.
Tout part de Showgirls, incompris à sa sortie en 1995 et « l’un des pires films de tous les temps » (ironie de la bande annonce), puis devenu l'œuvre fétiche que l’on sait, notamment auprès de la scène drag.
Sous un lustre géant et suggestif, Marlène Saldana gravit avec autodérision un volcan de carton-pâte, dépliant les scènes cultes d’un film qui fait son nid à Las Vegas, dans le milieu des shows pompe à fric où des producteurs sans scrupule réduisent les danseuses à des objets sexuels. Sur scène, l’espérance et la souffrance de la jeune danseuse Nomi Malone se transforment vite en une sorte de making-of imaginaire du film, où Marlène Saldana et Jonathan Drillet, co-auteur, donnent la parole non seulement à Nomi Malone mais aussi à l’actrice Elizabeth Berkley qui incarna le personnage et n’en avait pas moins à subir.
Trente ans plus tard, avec le recul des temps qui ne sont plus les mêmes, notamment après le mouvement #metoo, Marlène Saldana donne également son propre point de vue d’actrice et de femme. Le tout mis en musique et en chansons par Rebeka Warrior, icône de la scène queer et artiste en résidence au Carreau du Temple. Le show peut commencer…
Avec humour et énergie, Marlène Saldana réinvente le film culte « Showgirls » sur scène, entre paillettes, autodérision et regard féministe, pour un spectacle aussi drôle que percutant !
Au programme : des spectacles en journée et en soirée, des cours de sports et de bien-être, une expo XXL d'art contemporain, des ateliers et des installations participatives qui croisent les deux piliers du Carreau du Temple : l'art et le sport !
Spectacles
Les Cœurs Rouges
de Alexandre Blondel / Cie Carna
15h et 17h / Entrée libre / Halle
Trois hommes s'emparent de la pole dance pour déconstruire la masculinité et explorer de nouveaux rapports au corps et au mouvement !
À travers ce solo chorégraphique, Léa Deschaintres livre un témoignage poignant sur la violence qu'elle a imposée à son corps pour dépasser ses limites et modeler son physique.
Un trio de performeurs interroge les codes de la virilité et de l’intimité à travers des portés acrobatiques, mettant en lumière la tendresse, la confiance et la fragilité !
1h d'initiation à la pole dance, discipline alliant, technique, souplesse, tonicité et équilibre. Tout niveaux, et tout âge. Il n’y a pas de mal à se faire du bien !
Swedish Fit, anciennement la Gym Suédoise, ce sont des cours collectifs en musique accessibles à toustes, pour se remettre en forme, se muscler ou juste s’amuser.
Viens te challenger dans ce cours de HIIT, un entraînement alternant des périodes d’efforts intenses et de récupération, pour booster ton cardio, renforcer tout le corps et te dépasser.
Un entrainement hybride, athlétique et fonctionnel de 60 min ON THE BEAT ! Cette véritable expérience immersive prend racine dans la danse, le pilates et l’animal flow.
Sport, corps et genre : vers de nouvelles normes ?
15h30 à 17h / Entrée libre sur inscription / Salon (niveau -1)
Une rencontre animée par Cédric Enjalbert, rédacteur en chef adjoint de Philosophie magazine, avec en invités Anaïs Bohuon, Yannis Constantinidès, Arno Ferrera et Gilles Polet.
Une exposition d'art contemporain réunissant 19 artistes sur l'univers du sport, qui interroge la condition humaine et les enjeux de l'art dans le monde contemporain.
Une installation immersive et participative qui détourne l'esprit des Jeux Olympiques en célébrant la lenteur, l'humour et la réflexion à travers des épreuves décalées et des performances interactives !
Créées par des étudiant·es en graphisme, deux affiches sportives et militantes sont sérigraphiées en direct par la sérigraphe Camille Balestra de Cause.s toujours !
Affiches réalisées par les étudiantes Nisrine Arod et Sondie Yoca Ondongo du DN MADE Graphisme du Lycée Claude Garamont à Colombes.
Au travers de créations olfactives, les étudiant.es de l'École Supérieure du Parfum questionnement les liens entre sport et odorat et reconstituent les odeurs perçues lors d’une course selon les saisons, lors d’une ballade dans Paris, selon les continents ou encore selon l’époque.
Découvrez votre programme du samedi 24 mai au Festival Jogging : spectacles, cours de sport et bien-être, rencontre, art contemporain, installation et ateliers participatifs !
Au programme : des spectacles en journée et en soirée, des cours de sports et de bien-être, une expo XXL d'art contemporain, des ateliers et des installations participatives qui croisent les deux piliers du Carreau du Temple : l'art et le sport !
Spectacles
WOD
de Akène Lenoir et Marco Mary / Lundy Grandpré
14h30 / 6€ à 12€ / Halle
Un duo audacieux qui explore les codes du corps bodybuildé, entre burpees, paillettes et enjeux sociaux !
À travers ce solo chorégraphique, Léa Deschaintres livre un témoignage poignant sur la violence qu'elle a imposée à son corps pour dépasser ses limites et modeler son physique.
Un trio de performeurs interroge les codes de la virilité et de l’intimité à travers des portés acrobatiques, mettant en lumière la tendresse, la confiance et la fragilité !
Julie Pujols-Benoit propose un mix de Pilates et renforcement musculaire pour tonifier son corps intensément et libérer son esprit, quel que soit son profil ou son âge.
Une exposition d'art contemporain réunissant 19 artistes sur l'univers du sport, qui interroge la condition humaine et les enjeux de l'art dans le monde contemporain.
Une installation immersive et participative qui détourne l'esprit des Jeux Olympiques en célébrant la lenteur, l'humour et la réflexion à travers des épreuves décalées et des performances interactives !
Créées par des étudiant·es en graphisme, deux affiches sportives et militantes sont sérigraphiées en direct par la sérigraphe Camille Balestra de Cause.s toujours !
Affiches réalisées par les étudiantes Nisrine Arod et Sondie Yoca Ondongo du DN MADE Graphisme du Lycée Claude Garamont à Colombes.
Découvrez votre programme du vendredi 23 mai 2025 au Festival Jogging : spectacles, cours de bien-être, art contemporain, installation et ateliers participatifs !
Samedi 14 juin 2025 de 11h à 12h30 / Salle de spectacle / Adultes et enfants à partir de 12 ans, tous niveaux
Après les représentations de Electro-tap, musique à regarder vs danse à écouter, un atelier pour prolonger l’expérience et découvrir comment le corps devient instrument, comment le rythme prend vie sous vos pas. Une initiation ludique aux bases du tap et des percussions corporelles, en lien avec l’univers électro de la pièce où nous explorerons plus particulièrement les percussions de pieds. Une manière joyeuse de ressentir la musique autrement… et de faire vibrer le sol ensemble !
Une participation à l'atelier vous ouvre le choix d'une place pour le spectacle Electro-tap, musique à regarder vs danse à écouter pour les représentations du mercredi 11 juin à 19h30 ou jeudi 12 juin 2025 à 19h30.
Un atelier ludique aux bases du tap et des percussions corporelles, pour explorer les percussions de pieds avec la chorégraphe Candice Martel !
Conversation-débat affranchie des conventions, Talk Show sonde avec simplicité et spontanéité la trajectoire tumultueuse et bien réelle de quatre artistes de cirque invités sur un plateau télé imaginaire. Une expérience où l'improbable devient réalité, où la magie surgit de l'improvisation en direct, sous les regards du public. Une occasion de regarder avec auto-dérision dans le miroir du parcours de la/sa vie.
Comment rendre compte de la réalité d’une vie dédiée au cirque ? Les corps sont parlants et sur le plateau, les émotions brutes - déceptions, euphories, frustrations, confessions et opinions - se dévoilent sans filtre, avec une désinvolture saisissante. Découvrez l'univers intime de quatre artistes circassien·nes, avec les acrobates Julien Cassier et Sandrine Juglair, le jongleur Jani Nuutinen et la clown Caroline Obin !
Dans cette exploration audacieuse de la réalité humaine, le cirque devient le miroir parfait de nos vies, abordant avec une sincérité déconcertante des thèmes tels que le temps qui passe, l'évolution, les hauts et les bas de l'existence. Ici, la vulnérabilité et l'authenticité prennent le dessus sur la performance physique, révélant la véritable magie de l'être humain. Un spectacle exutoire où l’expression libre et le partage d’expérience aident à surmonter le réel.
Chaque représentation est unique, un défi renouvelé chaque soir. Talk Show reste une expérience imprévisible où la magie de l’improvisation se dévoile en direct, portée par une équipe à géométrie variable et une prise de risque jubilatoire.
« Le défi à relever dans cette performance se trouve dans la capacité à être vrai, à dire tout ce que l’on pense, sans détour, mais toujours avec le but de stimuler la réflexion collective. Donner à voir des corps d’artistes en pleine maturescence et questionner la valeur et la richesse de sens qu’on peut leur accorder, à l’heure du succès comme obsession collective et de la glorification de la reconnaissance à tout prix. » Gaël Santisteva
Pass Marathon
Achetez votre Pass et profitez de 3 spectacles et/ou soirées sur l'ensemble du Festival Jogging :
Au programme du dernier jour du festival : des spectacles en soirée, des ateliers créatifs, une rencontre, un cours de danse, des installations vidéo et des expositions axées sur la représentation du corps contemporain !
Spectacles
Un cœur réduit à un point
de Marie-Jo Faggianelli 18h-18h25 Studio de Plume
Marie-Jo Faggianelli explore les liens entre passé et présent, utilisant le crin végétal comme symbole de mémoire et de légèreté. Ce spectacle interroge la notion de temps dansé et passé, dans un dialogue poétique entre mémoire et réinvention.
Dans un solo en forme de récit chorégraphique et autobiographique, Myriam Soulanges plonge dans son histoire familiale pour dessiner les lignes d’une pièce dénonçant la domination patriarcale et coloniale. Danse, parole et archives sonores s'entremêlent pour interroger petite et grande Histoire.
Danser Ensemble est un spectacle d'Alice Davazoglou, jeune femme trisomique passionnée de danse, qui réinvente la place des personnes en situation de handicap dans la danse contemporaine. Elle partage sa création avec dix chorégraphes-interprètes, mettant en valeur l'inclusion, la diversité des corps et la collaboration collective.
de Lenio Kaklea / BODHI PROJECT 22h-23h10 Salle de spectacle
Interprété par 5 formidables danseurs·euses du BODHI PROJECT, Chemical Joy dresse une critique douce mais efficace des contradictions de la culture jeune d'aujourd'hui. Visible pour la première fois en France à l'occasion d'une tournée dans les plus grands festivals européens de danse !
Ateliers créatifs / 14h-18h / Gratuit sur inscription
Lunettes de métamorphose avec Lucas Tortolano, tarot inclusif avec Richard Otparlic, illustrations et lutte contre la grossophobie avec Anne-Isabelle Lucas et les étudiant·es de l'École de Condé, broderie militante avec Marthe Drucbert, atelier d'images avec Fabrication Maison et les écoles partenaires.
14h-15h15 / En partenariat avec Le Rainbow Day & Night et La Magnanerie / Salle de spectacle
Dans un contexte où les artistes LGBTQIA+ et/ou racisé·es subissent des entraves multiples et imbriquées, cette rencontre se propose d’explorer comment l’intersectionnalité peut éclairer et enrichir la création artistique et les politiques culturelles. Modérée par Audrey Couppe de kermadec, journaliste, écrivain·e artiste et performeur·euse.
Invité·es :
Akène Lenoir, chorégraphe et membre du collectif Lundy Grandpré
Anouk Aspisi, codirectrice artistique du Festival Bolzano Danza (Italie), ex-conseillère spectacle vivant, musiques et art visuel auprès de la ministre de la Culture
Nadia Vadori-Gauthier, Denis Darzacq, Alice Davazoglou et Thibaut Ras, Fabrication Maison En continu / 13h30-18h
Entre expositions photo et installations vidéo, les arts visuels investissent la Halle du Carreau du Temple afin d'explorer les liens entre danse contemporaine, corps et art à l'occasion du Festival Everybody.
Pendant cinq jours, du 14 au 18 février 2025, leFestival Everybody présente des spectacles, un cabaret drag, un ball voguing, des cours de danse et de bien-être, des ateliers créatifs, des installations participatives et expositions axées sur la représentation du corps contemporain !
SOIRÉE D'OUVERTURE LA CREOLE : Après les spectacles du vendredi soir, ne manquez pas la soirée d'ouverture avec le collectif LA CREOLE ! Préparez-vous à une nuit enflammée où les rythmes afro, latino et caribéens fusionnent avec l’énergie des soirées techno ! De 22h à 1h - Tarif unique à 10€
Spectacles
Figuring Age
Boglárka Börcsök et Andreas Bolm 17h-18h et 19h-20h Studio de Flore
Une expérience inédite à vivre entre solo théâtral saisissant et installation plastique poétique. Une déclaration d’amour rendant hommage aux pionnières de la danse moderne hongroise, présentée pour la première fois à Paris !
Découvrez La Sirène à Barbe, un cabaret drag venant tout droit de Dieppe où glamour, diversité et performances enlevées s’unissent pour une soirée magique et inoubliable !
Fusion entre sound system et techno underground, LA CREOLE est une expérience immersive mêlant afro beats, dancehall, zouk, électro et bien plus. Ce collectif célèbre la diversité des cultures afro, latino et caribéennes dans un esprit festif et inclusif, porté par des DJ et danseur·euses passionné·es. Un incontournable des soirées parisiennes !
Nadia Vadori-Gauthier, Denis Darzacq, Alice Davazoglou et Thibaut Ras, Fabrication Maison En continu de 17h à 1h Entrée libre (sauf pendant LA CREOLE)
Entre expositions photo et installations vidéo, les arts visuels investissent la Halle du Carreau du Temple afin d'explorer les liens entre danse contemporaine, corps et art à l'occasion du Festival Everybody.