Une œuvre achetée, c'est un enfant qui part en vacances !
Solid’Art, c’est une magnifique initiative du Secours populaire : faire partir un maximum d’enfants en vacances en collectant des dons lors d’un salon d’art contemporain. Les fonds récoltés seront convertis en « journées vacances offertes » afin de faire partir un maximum d’enfants cet été. Encore aujourd’hui, 1 enfant sur 3 ne part pas en vacances.
Après une troisième édition fructueuse en avril 2024, grâce à laquelle près de 4 100 journées de vacances ont été organisées pour des enfants, le salon d’art solidaire s’installe de nouveau au Carreau du Temple.
Cette année, le parrain de cette quatrième édition est Jef Aérosol, un artiste pochoiriste français issu de la première vague de street art (art urbain) du début des années 1980. Il est considéré comme l'un des pionniers historiques de cette technique artistique !
Sur le salon, toutes les techniques y sont représentées : peinture, photographie, street art, sculpture, gravure, dessin, sérigraphie ; plus de cent artistes y sont présent·es. Après Montpellier, Lille, Marseille, Le Carreau du Temple est ravi d’en représenter la plateforme francilienne, ce projet se situant à un juste point de jonction entre sa démarche solidaire permanente et polymorphe et son accompagnement de la création contemporaine. De nombreux temps forts, animés par des artistes, sont proposés durant l'événement pour apporter une dimension ludique et interactive aux visiteurs. Solid’Art s’adresse aux amateurs.trices d’art et à celles et ceux qui souhaitent connaître l’association et exprimer leur solidarité.
Horaires par jour :
Jeudi 1er mai 2025 : 18h à 22h - Vernissage (entrée libre et accessible à tou·tes)
Vendredi 2mai 2025 : 14h30 à 19h30
Samedi 3 mai 2025 : 11h à 20h
Dimanche 4 mai 2025 : 10h à 18h30
Salon solidaire d'art contemporain du Secours populaire organisé avec le soutien de la Ville de Paris, Solid'Art revient pour une quatrième édition du jeudi 1er au dimanche 4 mai 2025 !
L’incontournable rendez-vous du marché de l’art urbain fête son neuvième anniversaire au Carreau du Temple. Panorama des différents courants, la manifestation s’adresse aux néophytes autant qu’aux passionné·es.
Urban Art Fair est la première foire internationale dédiée à l’art urbain, créée en 2016 par Yannick Boesso, président et fondateur. Depuis neuf ans, elle se tient sous la Halle du Carreau du Temple, en plein cœur de Paris, et rassemble environ 40 galeries françaises et internationales qui proposent de découvrir les œuvres de plus de 100 artistes.
Toujours entrelacée d’une programmation live - installations, rencontres, performances - Urban Art Fair est une foire établie qui doit son succès à l’exigence de sa programmation artistique, à découvrir dans un cadre convivial, s’érigeant en événement de premier plan du printemps à Paris.
Infos pratiques :
Jeudi 24 avril 2025 de 18h à 22h : Vernissage (sur invitation)
Vendredi 25 avril 2025 de 11h à 20h
Samedi 26 avril 2025 de 11h à 20h
Dimanche 27avril 2025 de 11h à 19h
L’immanquable rendez-vous du marché de l’art urbain fête son neuvième anniversaire au Carreau du Temple du jeudi 24 au dimanche 27 avril 2025 !
AKAA - Also Known As Africa - première et principale foire d’art contemporain centrée sur l’Afrique en France, est à l’image d’une Afrique aux multiples facettes, qui transcende les frontières et dont les voix résonnent aux quatre coins du monde, portées par la vision de chaque artiste.
Pour sa neuvième édition, AKAA revient au Carreau du Temple du 18 au 20 octobre 2024, pendant une semaine riche d’événements artistiques et en marge de la foire Paris + organisée par Art Basel au Grand Palais Éphémère.
Cette année, AKAA poursuit la mise en lumière des conversations qu’entretient l’Afrique avec les Amériques et les Caraïbes, notamment par un coup de projecteur sur la scène ultramarine.
Horaires d’ouverture
Vendredi 18 octobre 2024 : 12h00 – 20h00
Samedi 19 octobre 2024 : 12h00 – 20h00
Dimanche 20 octobre 2024 : 12h00 – 18h00
Principale foire dédiée aux scènes artistiques d’Afrique et de ses diasporas en France, AKAA revient pour une neuvième édition du 18 au 20 octobre 2024 au Carreau du Temple !
Electro-tap, musique à regarder vs danse à écouter
Préparez-vous à plonger dans la nouvelle vague du tap dance ! Musique électro et cadence des claquettes s’unissent pour un concert dansé au groove incessant. Electro-tap, ou la rencontre entre semelles métalliques, synthétiseur et guitare électrique.
Le tap dance, comme l’appellent ses inventeurs new-yorkais, connaît aujourd’hui un renouveau spectaculaire. À cette mouvance passionnante, Candice Martel apporte sa touche personnelle, résolument novatrice. Dans Electro-tap, le modulariste Modgeist, figure de proue de l'électro live, au synthétiseur et Thomas Naïm à la guitare (On the Far Side ; Sounds of Jimi ; Desert Highway) invitent un paysage sonore entre l’électronique et l’acoustique, entre le geste musical et le corps dansant, avec le sol comme prolongement sonore. Aussi les pieds de Candice Martel deviennent instrument de musique, traversant un paysage sonore modulé à la table de mixage, et comme en boîte de nuit pour un clubbing électro, le groove ne tarit jamais.
Un voyage chorégraphique à travers de nouvelles textures sonores, une danse à regarder ou à suivre comme un concert, pour repousser les frontières de nos habitudes perceptives. Et puisque Candice Martel fait de l’humain sa priorité, elle est accompagnée dans l’ombre par la figure de Peg Leg Bates, tap dancer unijambiste historique ! Aussi Electro-tap est une ode à la liberté et un encouragement à suivre ses rêves…
Atelier Danse et percussion corporelle avec Candice Martel Samedi 14 juin 2025 de 11h à 12h30 / Salle de spectacle Adultes et enfants à partir de 12 ans, tous niveaux Billet atelier + spectacle : 15€ à 30€ Réservez en cliquant ici !
Un concert dansé au groove incessant, entre semelles métalliques et synthétiseurs, qui repousse les limites du genre avec la nouvelle vague du tap dance !
Depuis 2021, le Festival Jogging explore de façon joyeuse et décalée les croisements imaginés par les artistes entre l’art et le sport. Cette cinquième édition - parrainée par Raí, légende brésilienne du football, capitaine iconique du PSG - réunit spectacles, expo d'art contemporain, roller dance, rencontre, cours de sport et soirée brésilienne !
Le jeudi soir, la soirée d’ouverture du festival donne le coup d’envoi des festivités sous une latitude tropicale célébrant la culture brésilienne. Imaginée en partenariat avec Raí, la programmation réunit performances de capoeira-voguing, concert (roda) de samba, démo de football freestyle et DJ sets. Un grand "baile bom" où explosent rythmes endiablés, performances de sport et danse libératrices !
Côté spectacles, le corps sera en haut de l’affiche : de la danse contemporaine en passant par la pole dance et le crossfit, six spectacles revisitent les liens qui unissent art et sport. Côté expo, dix-neuf artistes plasticien·nes investissent la Halle de 1800m2 avec des œuvres d’art qui se réfèrent à l’univers du sport avec humour, fascination ou regard critique. Une sélection imaginée en partenariat avec le commissaire d'exposition Jean-Marc Huitorel.
Cours de sport (swedish fit, pilates booty, hiit, pole dance, afrovibe…), ateliers et rencontre viennent étoffer le programme en journée.
Le dimanche, le festival se clôture en patins avec une grande roller dance pour petit·es et grand·es !
Avec Berimbaucomtudo, Alexandre Blondel, Johanna Cartier, Arno Ferrera & Gilles Polet, gethan&myles, Akène Lenoir & Marco Mary, Marquinhos de Oswaldo Cruz e o Trem do Samba, Claire Lapeyre Mazerat & Mélanie Martinez Llense, Laurent Perbos, Puma Camillê, Raí, Pierre Rigal, Pascal Rivet, Rythme Brisé, Gaël Santisteva, Noel W. Anderson…
VOIR TOUT LE PROGRAMME DU FESTIVAL : SPECTACLES, PERFORMANCES, EXPO, COURS... CF CI-DESSOUS (sous le teaser du festival)
Pour sa cinquième édition, le Festival Jogging poursuit son exploration unique et innovante des croisements du sport et de l’art, du jeudi 22 au dimanche 25 mai 2025 !
Trois personnages hauts en couleurs laissent libre cours à leurs envies ludiques, s’amusant d’eux-mêmes et de la danse post-moderne de Merce Cunningham. Autodérision et authenticité pour le retour à une (fausse ?) innocence originelle.
La danse est-elle simple ? Au moins elle peut l’être, semble affirmer Ayelen Parolin. Trois danseurs, assurément adultes et vêtus de justaucorps très coloriés, se reconnectent à un état de jubilation immédiate que l’on perd, bien trop vite, au sortir de l’âge tendre. Avec Ayelen Parolin, ils ont construit une improbable partition des instincts, éliminant au passage tout jugement que l’on pourrait porter sur leurs actions ou attitudes. Aussi ces histrions chorégraphiques se laissent volontiers surprendre par leurs propres cabrioles – sans prétention, sans artifice et même sans musique, faisant du corps leur seul jouet, ou presque. Car il leur faut tout autant maîtriser des planches en bois et autres objets du quotidien, ramassés au cours de la création et intégrés dans leur jeu.
Et le jeu, lui, est un facteur fondamental, dans cette pièce comme dans la vie, et même chez Merce Cunningham ! SIMPLE nous révèle cela, par ses costumes, son décor et sa cinétique, clins d’œil à la pièce Summerspace du grand pionnier new yorkais, mais aussi au célèbre essai Homo ludens de Johan Huizinga sur la fonction sociale du jeu. Voilà sans doute le meilleur hommage qu’on puisse rendre à Cunningham, qui était au fond un chercheur sachant s’amuser.
Trois danseurs hauts en couleurs célèbrent la danse post-moderne de Merce Cunningham avec autodérision et authenticité. Une partition ludique et instinctive !
Rencontre avec deux générations de la danse actuelle d’un Maroc en mouvement. Entre tradition musicale et musique rock, les principes héréditaires croisent une individualité nouvelle, où l’homme ne renie plus sa part féminine.
Hors du monde est un duo flamboyant, comme pour aller vers une élévation spirituelle. Danse, guitare électrique et qarqabous, ces castagnettes traditionnelles de la musique gnaoua, se défient sur l’échiquier d’une piste de clubbing. Où un rockeur-boxeur en quête d’élévation danse parfois comme s’il avait la rage au ventre, avant de se transformer en derviche. Le turban rouge d'Hassan Oumzili ressemble alors à une fleur ou un cocon, et le sol paraît comme en feu, chauffé par une musique au pulse rock qui tend vers le céleste. Ce duo très chargé est chorégraphié par Taoufiq Izeddiou, figure flamboyante de la scène chorégraphique marocaine, ayant fondé à Marrakech même un festival et une école de danse dont est issu Abdel Mounim Elallami.
Devenu chorégraphe à son tour, il interprète son solo Idée, où il enquête sur les principes masculins et féminins qui nous animent, entre force et fluidité. Ayant commencé par le hip hop, Abdel Mounim Elallami s’approprie ici certains mouvements de sa mère, revient sur des injonctions comme « ne pleure pas, tu n’es pas une fille » et pose des questions existentielles concernant la construction de l’identité. Un intense combat intérieur, jusqu’à la résilience et l’acceptation de soi.
ATELIER AVEC TAOUFIQ IZEDDIOU ET HASSAN OUMZILI consacré à l’approche contemporaine de la transe par le mouvement au sein de la Trilogie « Le Monde en Transe » Lundi 17 mars 2025 de 19h à 21h30 / Salle de spectacle / Adultes tous niveaux Billet atelier + spectacle : 20 € à 30 € Réservez en cliquant ici !
Une soirée double de spectacles, une rencontre avec deux générations de la danse actuelle d'un Maroc en mouvement, avec Abdel Mounim Elallami et Taoufiq Izeddiou !
Le Festival Everybody, imaginé par Le Carreau du Temple, célèbre toujours plus la diversité des corps et l’inclusivité. Au programme : spectacles, cabaret drag, ball voguing, cours de danse, rencontres, ateliers participatifs & soirée clubbing !
Du 14 au 18 février, le Festival Everybody programme des artistes pluridisciplinaires, chorégraphes, danseurs·euses, plasticiens·nes, artistes visuels, qui déconstruisent les stéréotypes liés au genre, à la couleur de peau, au handicap ou encore à l’âgisme. 5 jours pour aborder la question des identités et des différences, découvrir des artistes français et internationaux soudé·es par leur engagement autour de ces questions des corps multiples. Et une soirée d’ouverture qui s’annonce explosive avec le collectif pluridisciplinaire LA CREOLE qui promet d’enflammer le dancefloor !
Initié par Le Carreau du Temple, le Festival Everybody revient pour une quatrième édition en poursuivant son interrogation sur la place du corps dans nos sociétés contemporaines.
Un des chefs-d'œuvre de la nouvelle danse française, par l’un de ses chorégraphes fondateurs : Ulysse de Jean-Claude Gallotta, revu dans la fraîcheur des jeunes danseurs·euses du Groupe Grenade. Une aventure où l’avenir retrouve ses origines…
La célébrité d’Ulysse dépasse de loin le cadre hellénique de L’Odyssée. En danse aussi, Ulysse fait légende. Cette pièce envolée, fluide et pleine d’énergie, créée par Jean-Claude Gallotta en 1982, puis recréée à l’Opéra de Paris en 1995, représente à elle seule l’élan de la nouvelle danse française. C’est par ailleurs lors de cette création qu’on découvrit une interprète remarquable : Josette Baïz. Devenue chorégraphe, elle fonda en 1989 une école de danse pour les enfants des quartiers nord de Marseille : Grenade. Depuis, la qualité de l’enseignement confère à chaque promotion un étonnant professionnalisme et ces jeunes ont eux-mêmes acquis, d’année en année, un statut de légende dans le paysage chorégraphique. Aussi ils se produisent à Chaillot comme au Théâtre de la Ville ou à la Maison de la Danse, interprétant les chorégraphes majeur·es de notre époque – Lucinda Childs, Akram Khan, Crystal Pite, Hofesh Shechter… – auxquels ils apportent à chaque fois une lecture pertinente.
En remontant aujourd’hui Ulysse de Jean-Claude Gallotta, Josette Baïz nous invite à redécouvrir cette référence majeure, à travers la fraîcheur, l’intelligence et l’expressivité des jeunes, dont beaucoup visent une carrière professionnelle.
BORD DE PLATEAU À l’issue de la première d’Ulysse le vendredi 24 janvier 2025, un bord plateau est prévu avec les chorégraphes Jean-Claude Gallotta et Josette Baïz, animé par Nathalie Yokel, auteure et journaliste danse, et Emerentienne Dubourg, chargée des relations avec les publics à Micadanses. L'échange fera également partie du lancement du livre Ulysse de Jean Claude Gallotta par Nathalie Yokel (Collection « Chefs-d'œuvre de la danse », dir. Philippe Verrièle, coédition micadanses-Paris / Nouvelles Éditions Scala).
ATELIER DE DANSE MÉTISSÉE autour de la gestuelle de Josette Baïz, du break dance à la danse orientale, gitane, indienne ou africaine avec Jeanne Vallauri de la Cie Grenade
Dimanche 26 janvier 2025 de 10h30 à 12h / Salle de spectacle / En famille (à partir de 8 ans) Les ateliers parents enfants s’adressent aux familles ! L’idée est de générer un échange intergénérationnel qui permette aux parents et enfants de partager un moment ludique et unique. Pour mettre en œuvre cet atelier parents enfants, nous proposons de développer la pédagogie que Josette Baïz a insufflée depuis de nombreuses années et qui se base sur le métissage de cultures chorégraphiques ainsi que sur la technique, l’improvisation et la composition.
ATELIER DE DANSE MÉTISSÉE autour de la gestuelle de Josette Baïz, du break dance à la danse orientale, gitane, indienne ou africaine avecJeanne Vallauri de la Cie Grenade
Dimanche 26 janvier 2025 de 14h à 16h / Salle de spectacle / Adultes niveau amateur À partir d’une base technique contemporaine, l’intervenante développe dans son atelier l’aisance gestuelle grâce à un travail de pression au sol, d’étirements et de relâchement de la tension, tout en proposant une large part d’improvisation et de composition dans le but de donner aux participants les clés de leur créativité. Elle abordera également les diverses techniques du métissage chorégraphique qui caractérise la démarche de Josette Baïz.
Un chef-d'œuvre de la nouvelle danse française, par l’un de ses chorégraphes fondateurs Jean-Claude Gallotta, revu dans la fraîcheur des jeunes danseurs·euses du Groupe Grenade !
À l’interface des sphères intimes et sociétales, deux femmes chorégraphes, émergeantes et intrigantes, enquêtent sur la disparition volontaire et la résistance à la violence. En partage, un goût pour l’imprévisible et la musique live.
XXX est un trio pour une danseuse, une électroacousticienne et un batteur. Inspiré par le costume retrouvé, d'un interprète de la-danse-contemporaine-des-années-80, disparu.Pauline Tremblay a conjugué études en danse, lettres et philosophie. Avec son approche reliant l’intime et le politique, Pauline Tremblay commence à laisser son empreinte. Elle signe ici une réflexion sur l’effacement volontaire et la disparition artistique d’un danseur interprète qu’elle avait connu en son enfance. Entre fiction et autobiographie, entre le corps dansant et le corps social, elle aime jouer avec la suspension des frontières. En son univers aussi, la surprise est reine. => Pour en savoir plus sur la création du spectacle, lire l'entretien de Pauline Tremblay sur Maculture.fr
Maya Masse, aka babygirl Wrestler, revisite ici la pratique du krump, danse qui d’abord l’avait surprise à son tour puisque Maya Masse vient de la danse contemporaine avant de devenir krumpeuse. Inspiré de la culture des jeux videos, bullet time est un espace mental dans lequel le personnage, à travers la danse, peut retourner dans sa mémoire pour y changer le cours des choses : se défendre. Se venger. Réparer. Travailler la violence. Mobilisant les techniques de vitesse de l’image (ralenti, stop motion, accéléré), Babygirl Wrestler explore les concepts d’auto-défense violente et non violente, ouvrant ainsi les interrogations suivantes : qu’est ce qu’un corps qui se soulève ? qui résiste ? qui se défend ? Jusqu’où un corps laisse le temps s’étirer avant de répondre à la violence par la violence ? Né dans les entrailles de la violence sociale, raciale, policière, patriarcale, capitaliste et coloniale, le krump est une réponse à la brutalité systémique ; la danse agit comme contre-fiction, donnant un pouvoir émancipateur : exprimer et affirmer son identité, reprendre sa liberté, s’élever.
Chorégraphes émergentes, Pauline Tremblay et Maya Masse explorent la disparition volontaire et la résistance à la violence, alliant imprévisibilité et musique live, à l’interface des sphères intimes et sociétales.