Modalités de remboursement : Suite aux mesures gouvernementales et à l'annulation du spectacle, vous pouvez procéder à une demande de remboursement. Merci de contacter la billetterie : billetterie@carreaudutemple.org
Dans une large palette de beiges composée de cartons, de cordes, de bois et de poids déambule la silhouette aussi fébrile qu’agile de Marc Oosterhoff. Entre danse et cirque, sa performance semble déjouer les lois de l’apesanteur, nous défiant de comprendre tout ce monde en suspens.
Explorateur naïf d’un écosystème aux règles étranges, un personnage désarticulé y cherche son chemin et son équilibre, se promenant parmi d’improbables bascules, auxquelles répondent des nappes sonores cosmiques, cinématographiques ou industrielles créées au plateau par le musicien Raphaël Raccuia.
Doué d’une poétique corporelle et d’un sens du burlesque, le performer se frotte aux ressorts premiers du cirque, fondés sur les « promesses » tacites des interprètes : un lanceur de couteaux se doit d’atteindre sa cible, un dompteur de fauve, de ne pas se faire dévorer, un funambule, de rester sur son fil. Les Promesses de l’incertitude explore l’essence même de l’attention que porte le public à cette lutte entre deux forces sur scène, en pariant que la tension précédant l’action est plus intéressante que l’action elle-même, en ce qu’elle contient toutes ses potentialités et laisse le spectateur libre de les imaginer. À rebours de ces promesses, la danse, qu’elle soit expressive ou stylistique, incarne l’instant présent, la liberté, ne donne rien d’autre à attendre que l’inattendu. Le duo compose ici une forme rare d’art vivant mixte autour de la préciosité de l’incertitude.
Créé en 2012, Seventeen est un spectacle pluridisciplinaire qui se recrée depuis 10 ans. Il met en scène des adolescences. Par le corps, par les mots, ils et elles se racontent sur scène.
En y intégrant les arts numériques, la compagnie François Stemmer crée 7teen Nouvelle Génération, spectacle hybride qui se vit et se partage via les écrans dans un premier temps et sur scène dans un second temps. Ainsi, tout au long du mois d'août, une mini-série de 11 épisodes sera diffusée sur les réseaux sociaux de la compagnie François Stemmer et se conclura avec un dernier "épisode" sur scène lors des représentations du spectacle les 26 et 27 août au Carreau du Temple.
Dans le premier épisode, vivez les deux journées d’auditions. Les cinq épisodes suivants feront le portrait des protagonistes de 7teen Nouvelle Génération. Filmés dans les lieux qu'ils fréquentent, chez eux, seuls ou en groupes, il s'agit de partir à la découverte de leur univers. Avant le grand final, découvrez cinq épisodes sur les premiers jours de création afin de suivre les protagonistes désormais au sein de la troupe dans le contexte particulier de l’immersion créative et du groupe. Pour voir le dernier "épisode", rendez-vous sur la scène au Carreau du Temple !
Découvrez les 11 épisodes de la mini-série sur les réseaux sociaux de la compagnie François Stemmer et son site Internet :
Dans le cadre de L'Hyper Festival, François Stemmer présente "7teen Nouvelle Génération", un objet artistique hybride mêlant portraits, narrations et images sensibles !
Mickaël Phelippeau rencontre Françoise et Alice Davazoglou presque par hasard. En duo sur le plateau, elles se prêtent avec générosité au jeu du « portrait chorégraphique » cher à Mickaël Phelippeau. Avec délicatesse, il interroge les liens qui unissent les deux femmes et leur offre la possibilité de montrer à tous qui elles sont: deux femmes interprètes, l'une dite valide et l'autre porteuse de trisomie 21. Ce duo aborde ainsi la complexité et la constellation des liens qu'elles entretiennent, des divergences qui créent leur complémentarité, tant humainement que dans leur relation à la danse.
« De Françoise à Alice emporte le spectateur dans une vague de beauté et d'humanité dont l'émotion se distille avec pudeur. » Télérama
JEZEBEL de Cherish Menzo
Salle de spectacle / 20h30 / Durée : 1h
Danseuse et chorégraphe néerlandaise, Cherish Menzo dénonce l’hypersexualisation des femmes dans les clips de rap et hip-hop des années 90 à travers une réappropriation du mythe biblique de Jézabel, femme séductrice, tyrannique et malfaisante. Captivante, l’artiste dynamite les stéréotypes et les fantasmes et déconstruit les codes de l’imagerie associée aux « Vidéos Vixens ».
« Cherish Menzo libère les femmes-objets des clips de rap dans un solo magnétique. » La Terrasse
Studio de Flore / 22h / Durée : 1h / Spectacle déconseillé aux moins de 16 ans
Chorégraphe martiniquaise, Annabel Guérédrat signe des performances toujours empreintes d’une profonde réflexion sur le monde et sur la condition féminine en particulier. Seule en scène et nue, l’artiste revêt une à une cinq peaux de brujas, sorcières afro-caribéennes, correspondant à cinq tableaux successifs qui s’entremêlent à mesure de la performance.
« Une réinterprétation de rituels magico-religieux afrocaribéens pour faire exploser sur scène une puissance féminine. » La Terrasse
En partenariat avec le Festival Jerk Off
Seeking Unicorns de Chiara Bersani
Studio de Flore / 18h30 / Durée : 45 min
La danseuse, chorégraphe et performeuse Chiara Bersani mesure 98 cm. Autour de cette quête et des métamorphoses de la licorne, elle enroule sa propre recherche sur son identité et son corps loin des normes.
« Remarquée en tant qu’interprète dans le célèbre Gala de Jérôme Bel, la performeuse italienne revient marquer nos esprits. » La Terrasse
« La beauté de la recherche artistique réside dans le fait de toucher des mondes et de laisser ensuite les pensées jaillir dans des directions inattendues et imprévisibles. » (interview de Chiara Bersani dans maculture.fr)
Pourquoi vient-on au théâtre ? Pour rire ? S’émouvoir ? Découvrir une histoire ? Ou, plus trivialement, pour en avoir pour son argent ? Dans une malicieuse mise en abyme de l’acteur et du spectateur, HERE & NOW réinterroge le pacte qui fonde la représentation et célèbre le plus bel « ici et maintenant » qui soit : l’espace-temps du théâtre.
« Trân Tran a réussi le tour de force d’un solo inclassable. Maîtrisant l’improvisation, elle joue du tac au tac et nous renvoie de belle façon la joie et la portée symbolique de se rendre au spectacle. » La Terrasse
« Une performance légère, sans prétention, dont le final mérite à lui seul le déplacement. » I/O Gazette
Dans une performance intransigeante qui n’épargne ni les yeux ni les oreilles, Rébecca Chaillon décrypte la manière dont le désir des femmes noires s’est construit par rapport à des injonctions paradoxales et des clichés tenaces. Une pièce pour 8 corps, qui bouscule nos imaginaires.
« L’autrice, performeuse et metteuse en scène signe un spectacle ébouriffant pour déconstruire le regard porté sur les femmes noires en France. Drôle, énervée et intelligente, son écriture théâtrale est aussi singulière que jubilatoire. » Les Inrocks
Une danseuse dans la bibliothèque de la Compagnie Nathalie Collantes
Lundi 21 et mardi 22 février 2022 à 14h, mercredi 23 février 2022 à 11h et 14h
Halle / Lundi et mardi à 14h, mercredi à 11h et 14h / Durée : 1h / Entre 7 et 11 ans / Tarif unique : 5€
Danser dans une bibliothèque ? Impossible ! Et pourtant… Nathalie Collantes relève le défi pour aller à la rencontre des plus petits et partager avec eux le plaisir de fréquenter les lieux de lecture. La curiosité éveillée, chaque enfant traverse joyeusement l’expérience, tour à tour spectateur critique, interprète, lecteur.
Mercredi 23 février 2022
POWER-UP ! - Performance dansée
Halle / Mercredi 23 février de 16h30 à 17h / Gratuit / Tout public
Dans POWER-UP !, les danseurs explorent en tous sens l’espace en nous gratifiant d’un ballet abstrait parfaitement structuré. Valeria Giuga ré-invente et ré-agence les différentes matières chorégraphiques que comporte LA MACHINE. À chaque représentation, Valeria Giuga propose à un groupe d’amateurs de rejoindre le trio de danseurs le temps d’une danse partagée qui clôt la performance. Le mercredi 23 février 2022, Valeria Giuga donne rendez-vous à tous les joueurs qui le souhaitent afin de préparer et d'interpréter aux côtés des trois danseurs de la compagnie Labkine cette danse collective pour une expérience de « chœur » de mouvement inédite.
Appel à participation !
Répétitions : mercredi 23 février 2022 de 14h à 16h
Représentation publique : mercredi 23 février 2022 de 16h30 à 17h
Cible : Tout public, adultes et enfants accompagnés à partir de 7 ans
Jauge : 30 personnes max
Six spectacles autour du corps contemporain à découvrir à l'occasion du Festival Everybody ! À travers deux soirées spectacles, découvrez les créations de chorégraphes particulièrement impliqués dans les questionnements liés au corps et au genre.
Une danseuse dans la bibliothèque de la Compagnie Nathalie Collantes
Lundi 21 et mardi 22 février 2022 à 14h, mercredi 23 février 2022 à 11h et 14h
Halle / Lundi et mardi à 14h, mercredi à 11h et 14h / Durée : 1h / Entre 7 et 11 ans / Tarif unique : 5€
Danser dans une bibliothèque ? Impossible ! Et pourtant… Nathalie Collantes relève le défi pour aller à la rencontre des plus petits et partager avec eux le plaisir de fréquenter les lieux de lecture. La curiosité éveillée, chaque enfant traverse joyeusement l’expérience, tour à tour spectateur critique, interprète, lecteur.
Cours Acroyoga Parent - Enfant avec Mélanie Lo
Samedi 19 février 2022 de 14h à 15h
Halle / Tarif duo 1 parent avec 1 enfant : 15€ / Parents et enfants à partir de 4 ans
L’acroyoga que Mélanie vous propose est simple et joyeux. Le programme se concentre sur le plaisir de participer ensemble autour d'une activité fun et ludique. L’expérience se vit dans un esprit bon enfant et bien encadré. Mélanie vous guide avec des techniques acrobatiques accessibles pour que chacun soit toujours en sécurité. L’acroyoga est une pratique qui mêle avec subtilité challenge et facilité. De sorte qu’après l’atelier vous sentirez que vous avez relevé des défis qui vont rebooster votre confiance. Vous avez déjà tout le potentiel en vous qui ne demande qu’à être réveillé.
En partenariat avec Paris Mômes
Nous mettons à disposition 50 tapis de yoga, nous recommandons cependant aux participant·e·s de venir avec leur propre tapis si possible
Contes à paillettes - Collectif Paillettes
Mercredi 23 février 2022 de 15h à 17h
Halle, dans la bulle de lecture / Entrée Libre / Tout public
Un programme de shows littéraires, contes queers et féministes racontés par les « drag queens, travelottes et créatures parisiennes » du collectif queer militant Paillettes. Vrai cabaret littéraire, les shows Paillettes questionnent notre époque et notre société au travers de leurs performances engagées, mais aussi par le biais de la lecture de contes abordant des thèmes queer et féministes.
Albums audio Ma Fabrique à Histoires - Éditions Lunii
En continu
Halle, dans la bulle de lecture / Entrée libre / Tout public
Hébergés dans la bulle de lecture, les albums audio Ma Fabrique à Histoires des Éditions Lunii permettent aux enfants de laisser libre court à leur imaginaire le temps d'une histoire audio. L'occasion parfaite pour écouter des histoires inspirantes pour la jeunesse : Les Lumineuses, Les Courageuses ou encore Les Révoltées, de grandes aventures où l'on croise des sorcières à la bonté exemplaire et des grandes figures féminines qui ont marqué l’Histoire !
Bulle de lecture
En continu
Halle / Entrée libre / Tout public
Espace intime au cœur de la Halle, la bulle de lecture est à la croisée de l’architecture et de l’installation immersive. Pour le Festival Everybody, elle accueille en continu une collection de livres jeunesse et adultes, ainsi que le spectacle Une danseuse dans la bibliothèque, les Contes à paillettes du Collectif Paillettes et les livres audio Ma Fabrique à Histoires des Éditions Lunii.
Des découvertes littéraires pour petits et grands tout au long du festival !
Forum des associations sportives et artistiques 2021
Bien vivre en ville, bouger, prendre soin de son corps, de son esprit et de son environnement, transmettre, agir en citoyen, réfléchir ensemble, contempler, s’étonner, innover... Les fers de lance du Carreau du Temple, plus que jamais d'actualité, sont au cœur de son week-end de rentrée, avec le samedi, une journée consacrée aux sports et aux pratiques artistiques et le dimanche aux arts dans l'espace public avec le festival Les Traversées du Marais.
Le samedi de la rentrée, Le Carreau du Temple a pris pour agréable habitude de mettre ses espaces à disposition de nombreuses associations de pratiques sportives et artistiques. Sélectionnés pour leur savoir-faire et leur goût pour la transmission, près de 50 professionnels présentent leurs disciplines en toute convivialité dans la grande Halle. À l’appui de ces démonstrations et cours XXL, chacun peut choisir son ou ses enseignements pour l’année à venir, adulte comme enfant.
AU PROGRAMME
Pour cette journée, c'est l'occasion rêvée pour repérer vos activités de l'année, à travers des démonstrations, initiations, cours grand format, ou simples discussions avec les intervenants.
Le dimanche, c'est au tour des arts vivants, autre moteur du Carreau du Temple, de s'offrir en partage aux petits et aux grands. Cette année, découvrez Bal Trap, la performance haute en couleur de La Contrebande, dans le cadre du Festival Les Traversées du Marais.
Après une longue période de privation d’activités collectives, le week-end de rentrée du Carreau du Temple - une journée consacrée aux sports et aux pratiques artistiques et l’autre aux arts avec le festival Les Traversées du Marais - promet d’être particulièrement festif.
En partenariat avec le Centre culturel suisse à Paris et le Théâtre Nanterre-Amandiers, centre dramatique national
Dans un monde d’une froideur clinique, une femme en détresse s’essaye à une expérience : se déposséder, se déprendre, se désincarner pour migrer dans une autre forme. Peut-on avoir peur au théâtre comme au cinéma ? De prime abord réaliste, La Possession bascule insidieusement vers la fable horrifique.
Convaincue qu’on lui a jeté un sort, une jeune femme, pour refaire sa vie, tente de s’échapper en se transformant en un rocher, une plante, un animal. S’installe peu à peu un système sorcier hérité de l’univers des contes et du film d’épouvante.
Adossé à ce vecteur fictif de colonisation d’autres corps, qu’abondent de nombreuses références cinématographiques, le quatuor d’interprètes évoque la peur d’être remplacé, l’envie de l’autre ou d’être l’autre... Témoignant d’une dérive vers un monde de science-fiction, où se creuse le fossé entre nos aspirations profondes et les injonctions politicosociales, François-Xavier Rouyer en appelle à notre énergie vitale, nous enjoint à regarder, à la marge des emblèmes de la réussite capitaliste, d’autres voies et modèles possibles.
Dans cette pièce de théâtre à la limite de la fable horrifique et de la science-fiction, François-Xavier Rouyer explore l’altérité et nous enjoint à regarder, à la marge des emblèmes de la réussite capitaliste, d’autres voies et modèles possibles.
En partenariat avec le Centre culturel suisse à Paris
Comédienne, performeuse, ventriloque, transformiste d'exception, Julia Perazzini imagine un dialogue avec son frère décédé. L'artiste invoque et désamorce sa propre peur de la mort pour l'offrir en miroir aux spectateurs et, une fois n'est pas coutume, l'envisager comme une puissance d’activation du vivant.
En conversant avec l'absent, Julia Perazzini élabore une déroutante alchimie entre souffle, corps et voix, qui réveille notre relation avec l’invisible, l’irrationnel, donne la parole aux recoins endeuillés ou figés de nous-mêmes. Elle méduse l'étrangeté, voire la légitimité, de la frontière entre ce qui est dit « absent » et dit « présent ». Pouvons-nous transgresser les règles des possibles connexions entre les êtres ? Il y va de la constitution d'un « nous ».
Elle n'a pas connu ce frère, disparu avant qu'elle ne naisse. C'est ainsi dans un grand vent de liberté formelle, mais avec pudeur et délicatesse, que l'artiste s'autorise à rêver que la vitalité de son frère pourrait réinsuffler de la vie là où les choses sont gelées, révélant ce terreau créatif et incorruptible de nos parties enfouies. Passé et présent, conscient et inconscient se cognent, laissant jaillir par étincelles les failles des mosaïques qui nous composent, tous ces petits « jeux » au sens mécanique qu'explore méticuleusement l'artiste. Sur une scène presque vide se livre un jeu qui flirte avec le « non-jeu », soulignant la finesse de l'écriture, et, surtout, la déconcertante performativité de Julia Perazzini. Une sublimation psycho-magique de nos angoisses.
Artiste d’exception aux multiples talents, Julia Perazzini imagine dans « Le souper » un dialogue avec son frère décédé, transformant notre peur commune de la mort en puissance d’activation du vivant.
Il y a des pièces qui, tout à la fois, persistent au fond de nos rétines, restent gravées dans nos cœurs et bousculent définitivement notre approche de la société contemporaine. Ce duo abrasif, intime, viscéral, diablement drôle et allégorique, en fait partie.
La première image donne le ton : sur le plateau, piscine gonflable, tapis rose, tenues vestimentaires extravagantes et, très vite, un cochon, de ceux que l’on élève et abat en Bretagne, et que l’on célèbre, à table, à Noël en Martinique, importés par les premiers colons. À l’appui d’un texte aussi cinglant que poétique, criblé de savoureuses pépites, et d’un jeu performatif avec de faux matériaux : faux sang, fausses mailles, fausse fourrure, et une matière vraie et bien vraie, organique : eau, viande, pigment, Rébecca Chaillon en bouchère butch et Pierre Guillois en Christ gay nous embarquent dans un joyeux délire... pas si saugrenu qu’il n’y paraît.
Au départ, ils se sont amusés à coécrire leurs parcours respectifs. À l’origine de Rébecca, la Martinique. À l’origine de Pierre, la Bretagne. Mais Rébecca prend conscience qu’elle est noire et Pierre, qu’il est homosexuel. Dépliant les couches de la genèse de leurs personnes, ils dénudent leur rapport ambigu au catholicisme, au sacré, à la pureté. La chair vient tout naturellement souder ces questionnements, celle de l’animal, celle que l’on mange, celle qui cristallise le paradoxe entre plaisir du goût du sang et sentiment de culpabilité de la tuerie nourricière. Créatures divines et personnages profanes, les deux artistes invoquent aussi la société dont ils rêvent.
« Sa bouche ne connaît pas de dimanche », une fable déjantée au pays des faux semblants où Rébecca Chaillon et Pierre Guillois se racontent et tombent les masques !