La princesse du Waacking met en scène un défilé de mode dansant et percutant qui détourne les stéréotypes du genre. Un dialogue enchanteur entre corps, musique, mouvement et stylisme, en mode upcycling et sur des rythmes électro/house.
Après le succès international de D.I.S.C.O. – Don't Initiate Social Contact with Others, Josépha « Princess » Madoki – également remarquée pour sa collaboration avec Thomas Jolly pour un tableau de l'ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024 et la chorégraphie de Roméo & Juliette à l'Opéra Bastille. Elle lance une rencontre entre danse et mode, formes d'expression artistique qui s'influencent mutuellement depuis des siècles.
Grande passionnée du rapport esthétique et social au vêtement, la cofondatrice du premier collectif français de Waacking présente en première mondiale Haute Couture, « une collection en mouvement » pour huit danseur·euses d'univers variés (voguing, danse contemporaine, waacking...), en dialogue avec une composition originale de la DJ Naajet. Sous les coutures les plus inventives, les costumes sont ici l'œuvre du créateur de mode Mario Faundez, figure clé de l'upcycling qui réinvente son métier pour redonner un sens sociétal au vêtement. En écho, Gabrielle « Coco » Chanel et autres stylistes de la nouvelle génération témoignent de leur relation au vêtement, alors que la danse se déploie avant tout en mode Waacking. Et finalement, Haute Couture culmine par un clin d'œil à la tradition des grands défilés, quand Josépha Madoki et Mario Faundez posent un regard sur la mode nuptiale, défiant tous les codes.
Atelier Waacking avec Josépha Madoki Dimanche 14 décembre 2025 de 15h à 17h / Studio de Flore Tout public à partir de 14 ans, tous niveaux Billet atelier + spectacle : 22€ à 32€ (22€ avec la Carte Carreau) Réservez en cliquant ici !
Josépha Madoki mêle waacking et mode upcyclée pour défier les stéréotypes de genre dans un défilé dansé électrisant !
Comme disaient les Poetic Lovers, «Prenons notre Temple »*
En ce début de saison scorpionne, sur ces quelques jours où le monde hanté célèbre toutes les saintes et toutes les mortes, l’artiste Rébecca Chaillon fête ses 40 ans et propose donc tout naturellement de repousser les limites en (s’)orchestrant 40 heures de performances dans tous les recoins du Carreau du Temple avec sa compagnie, ses ami·es artistes et performeur·euses.
La compagnie Dans Le Ventre invite donc à une expérience où on sacre le temps qui est passé, qui passe encore et celui qu’il nous reste à vivre. « Nous avons envie de prendre soin, de parler, de rêver, de regarder des œuvres ensemble, d’œuvrer ensemble. C’est une performance pour les artistes et pour le public. Certes on retraversera des performances connues, des complicités artistiques et militantes qui ont pavé les parcours des artistes de la compagnie. Mais on essaiera aussi de se dire « C’est quoi les 40 prochaines années » ? Comment prendre soin de soi et des autres quand la vie nous a fait cramer plus vite que prévu ? Comment procréer, épargner, construire en diaspora, en communauté précarisée, vieillir et mourir plus que dignement ? » Rébecca Chaillon et la Compagnie Dans Le Ventre
Au programme : performances, tables rondes, dj sets, concerts, installations plastiques et performatives, marathon ciné, salle de sieste & podcasts, cantines solidaires...
*Pour celles et ceux qui n’ont pas la référence, Prenons notre temps est un tube musical, sorti en 1997, du groupe de RnB les Poetic Lovers.
Pour souffler ses 40 bougies, l’artiste Rébecca Chaillon repousse les limites et (s’)orchestre 40 heures de performances dans tous les recoins du Carreau du Temple !
Danser avec Duras, pour elle, grâce à elle ! Thomas Lebrun évoque la grande romancière, en gestes poétiques et en facéties bien inspirées. Un délicieux (auto-)portrait sur fond de conversations avec Bernard Pivot, dansé avec une délicatesse infinie.
« Comment voulez-vous que je me décrive ? Les portraits de moi, c’est les autres qui peuvent les faire ! » Marguerite Duras répond à Jean-Marc Turine (sur France Culture). Et son phrasé, c’est déjà de la musique. Depuis longtemps, Thomas Lebrun ne cesse d’écouter un recueil d’interviews radiophoniques de Marguerite Duras, enregistrées par l’INA sur plusieurs décennies : « Elle y partage des moments de vie, son regard sur la société, son rapport à la musique, sa vision de la création… ».
Thomas Lebrun capte les vibrations subtiles de l’écrivaine, se laisse envahir par cette personnalité hors du commun et lui répond par sa propre présence, son regard et ses gestes, en allant au bout du dépouillement. Et le portrait qu’on voit est peut-être celui du chorégraphe lui-même qui dévoile toute sa sensibilité dans l’art d’évoquer l’autre à travers sa propre danse. Aussi Thomas Lebrun invite les plus intimes des émotions à monter doucement à la surface, sur des chansons et musiques sublimes (Jeanne Moreau, The Who, Schubert…) et sous la magie d’éclairages en clair-de-lune. Quand il se glisse dans quelque personnage durassien, il sait en plus nous amuser, grâce à une autodérision à toute épreuve !
Ce spectacle a reçu le Grand Prix du Meilleur spectacle chorégraphique de la saison 2023 du Syndicat Professionnel de la Critique Théâtre, Musique et Danse.
Atelier autour du spectacle avec Thomas Lebrun Vendredi 30 janvier 2026 de 19h à 21h / Salle de spectacle Adultes, tous niveaux Billet atelier + spectacle : 22€ à 32€ (22€ avec la Carte Carreau) Réservez en cliquant ici !
Thomas Lebrun danse avec la voix de Marguerite Duras, livrant un hommage délicat et facétieux où la poésie du geste rencontre l’esprit de l’écrivaine.
Appel solitaire, clameur collective, boucan du corps. Quand le cri dessine une forme de résistance, la voix et les rituels deviennent des outils de la transformation, où cinq danseur·euses explorent les tensions entre contrôle et émancipation.
L'acte de crier peut être salutaire et salvateur. Un cri d'alarme, émis dans l'urgence, tantôt intime, tantôt public, seul ou en communauté. Un cri qui oscille entre douleur, joie et protestation... Alors crions, seul·e ou ensemble, fortement, subtilement ! Benjamin Kahn passe ici à l'écriture collective, et il s'y est préparé par une série de solos dont Bless the Sound that Saved a Witch like me pour Sati Veyrunes (présenté dans le cadre du Festival Everybody 2024), petite anthologie du cri à la lisière du solo et du chœur.
Ce « son » de la voix humaine revient donc dans une « (caco)-polyphonie des émotions » où Benjamin Kahn interroge les limites de l’affirmation de soi en explorant les relations entre corps, voix et rituels comme outils de transformation et de résistance. Son écriture rebondit sur Michel Foucault et son analyse des mécanismes de pouvoir, Gilles Deleuze et son approche du désir comme force créatrice ou encore Judith Butler et sa réflexion sur la performativité des identités.
Entre unissons et présences solitaires, un quintette humain interroge comment nous habitons notre corps, nos relations et nos espaces de liberté. Une quête identitaire « fluide » à partir de figures hybrides, mouvantes et troublantes, jusque dans des rituels contemporains inspirés de traditions calabraises.
*Cri(s)... titre provisoire
Benjamin Kahn réunit cinq danseur·euses pour explorer la force du cri, entre tension, rituel et affirmation de soin !
Anticipez votre venue : En raison du mouvement social du jeudi 18 septembre, si vous vous déplacez en transports en commun, nous vous invitons à consulter le site de la Ville de Paris pour connaître les transports en circulation voir ici
Spectacle choréo-gastronomique de Calixto Neto
Objet de controverses passionnées, la feijoada est un symbole hautement politique de la gastronomie brésilienne. Dans cette œuvre choréo-gastronomique, Calixto Neto revient sur l’origine de cette recette, élaborée à partir des restes de viande des maîtres et issue de la cuisine des personnes réduites en esclavage. Des questions émergent : quelles sont les chairs les moins onéreuses ? Quels sont les corps frappés par l’inégalité ? Sans imposer de réponse, Calixto Neto et ses complices proposent un cadre : être ensemble, danser ensemble, manger ensemble, manger cette histoire, célébrer cet instant.
Feijoada est une expérience scénique immersive, née du désir d’explorer les strates de violence, de joie et de mémoire qui traversent l’histoire brésilienne et ses symboles. Sur scène, la préparation d’une véritable feijoada – plat emblématique du Brésil – devient le fil conducteur d’une soirée où le temps de cuisson épouse celui de la représentation.
Le public est convié à assister, en temps réel, à la confection de ce mets collectif, rythmée par une roda de samba : un cercle musical vivant où les chansons issues de la mémoire brésilienne dialoguent avec les gestes de la cuisine, les interventions dansées et les prises de parole des artistes. Trois axes – la cuisine, la musique et la performance – s’entrelacent pour tisser une réflexion sensible et engagée sur l’histoire, l’identité et l’actualité du Brésil. À travers cette célébration partagée, le spectacle Feijoada cherche à démystifier ce symbole culinaire national, à en révéler les multiples visages et à ouvrir un espace de dialogue sur le Brésil noir contemporain.
Réunissant sur scène danseur·euses, musicien·nes, slameur·euses et conteur·euses, le spectacle fait de la scène un lieu de partage, d’écoute et de réflexion, où l’art se mêle à la convivialité du repas. C’est une invitation à repenser ensemble les récits, les traditions et les identités, à travers la chaleur d’un plat et la puissance de la création collective.
Ode à la gastronomie et à la culture brésilienne !
Le mot d’ordre de Food Temple ? Un festival joyeux, une gastronomie populaire, un voyage culturel et gustatif ! Pour cette 9e édition, de nombreux·ses chef·fes et artistes venu·es spécialement du Brésil viendront partager leurs recettes lors de grands déjeuners, ateliers et masterclass culinaires. Et célébrer la culture brésilienne : concerts de samba, maracatu et spectacle choréo-gastronomique feront vibrer la Halle du Carreau du Temple !
Alessandra Montagne - cheffe brésilienne emblématique de la scène parisienne - reconnue pour sa cuisine engagée et sans gaspillage, est la marraine de cette 9e édition. Durant quatre jours, les plus grands chef·fes brésilien·nes, dont la Cheffe étoilée Roberta Sudbrack – la plus primée et reconnue d’Amérique latine - viendront partager et enseigner leurs recettes secrètes. Le plus grand food court brésilien en plein cœur de Paris ! Dégustations, repas, ateliers et masterclass culinaires permettront de se familiariser avec les classiques comme le pão de queijo, le poulet mineirinho ou la moqueca de camarão et découvrir des recettes plus contemporaines de la cuisine brésilienne. Un marché 100% brésilien permettra de remplir son panier garni de café, chocolat et autres délices sucrés/salés.
Pour une immersion complète dans la culture brésilienne, de grands événements festifs ponctuent le festival : concerts de samba, spectacle choréo-gastronomique, maracatu (défilé de percussions traditionnelles) et grand déjeuner musical avec la célèbre feijoada de la chanteuse et cuisinière Tia Surica, considérée par celles et ceux qui ont eu l’occasion de la déguster comme la meilleure de Rio ! À savourer aux rythmes de la samba !
Manifestation organisée dans le cadre de la Saison Brésil-France 2025
Pour la neuvième édition de Food Temple, Le Carreau du Temple invite le Brésil et sa cuisine généreuse, célébrée pour sa mosaïque de saveurs et ses multiples influences culturelles !
Dans le Las Vegas des shows clinquants, un « oratorio techno » chanté et dansé par Marlène Saldana, à partir du film culte Showgirls de Paul Verhoeven qui suit le personnage de la danseuse Nomi Malone. Une revanche féminine, portée par un humour ravageur.
Tout part de Showgirls, incompris à sa sortie en 1995 et « l’un des pires films de tous les temps » (ironie de la bande annonce), puis devenu l'œuvre fétiche que l’on sait, notamment auprès de la scène drag.
Sous un lustre géant et suggestif, Marlène Saldana gravit avec autodérision un volcan de carton-pâte, dépliant les scènes cultes d’un film qui fait son nid à Las Vegas, dans le milieu des shows pompe à fric où des producteurs sans scrupule réduisent les danseuses à des objets sexuels. Sur scène, l’espérance et la souffrance de la jeune danseuse Nomi Malone se transforment vite en une sorte de making-of imaginaire du film, où Marlène Saldana et Jonathan Drillet, co-auteur, donnent la parole non seulement à Nomi Malone mais aussi à l’actrice Elizabeth Berkley qui incarna le personnage et n’en avait pas moins à subir.
Trente ans plus tard, avec le recul des temps qui ne sont plus les mêmes, notamment après le mouvement #metoo, Marlène Saldana donne également son propre point de vue d’actrice et de femme. Le tout mis en musique et en chansons par Rebeka Warrior, icône de la scène queer et artiste en résidence au Carreau du Temple. Le show peut commencer…
Avec humour et énergie, Marlène Saldana réinvente le film culte « Showgirls » sur scène, entre paillettes, autodérision et regard féministe, pour un spectacle aussi drôle que percutant !
Danser les ailleurs universels de l’humanité entre Orients et Occidents : envoûtement garanti quand une ronde populaire s’empare de la Halle du Carreau du Temple, dans une joyeuse farandole aux mouvements inénarrables !
La ronde, figure de danse ancestrale pratiquée dans toutes les civilisations et sur tous les continents, est un archétype immémorial. Elle permet d’évacuer le temps, de renouer avec les astres, de souder une communauté et d’éprouver un vertige intime aux vertus thérapeutiques.
Logiquement, celle de Pierre Rigal, conçue comme une fête, un rituel ou une célébration est destinée aux lieux publics fédérateurs tel le Panthéon, où elle s’est emballée pour la première fois. Suivirent le Château de Chambord, des places de villages, une usine désaffectée en Allemagne... Et aujourd’hui, l’immense Halle du Carreau du Temple !
À chaque fois, se recrée le lien ancestral et vivant entre les artistes et leur public. Accompagnés live par les boucles pop, trance ou électroacoustique de Mélanie Chartreux et Gwenaël Drapeau, huit personnes dansent jusqu’à l’oubli de soi et semblent obéir à des inspirations venant d’un ailleurs mythologique. Pourtant ni la danse, ni les costumes aux couleurs foudroyantes ne représentent une culture traditionnelle précise.
Et c’est justement pourquoi la plupart des rondes de ce monde pourront se reconnaître dans les pirouettes et les envols de ce cercle à l’énergie inépuisable. Où les châles de soie géants métamorphosent les interprètes en présences énigmatiques.
Une ronde hypnotique de Pierre Rigal envoûte la Halle du Carreau du Temple dans des ailleurs universels entre Orients et Occidents !
Dernier jour du Festival Jogging : en début d'après-midi, un ballet sportif avec plus de 50 amateur·es réuni·es dans la Halle et une grande roller dance party pour petit·es et grand·es en clôture du festival !
Spectacle
Ballet Jogging
de Pierre Rigal
14h30 / 6€ à 12€ / Halle
Réunir plus de 50 joggeurs et joggeuses dans un gigantesque ballet chorégraphique et poétique !
17h-21h / Entrée libre / Location des rollers sur place : 5€ les 30 min - rollers perso acceptés / Halle
Chauffez vos patins ! La Halle du Carreau du Temple se transforme en piste géante de roller dance pour finir en beauté cette cinquième édition du Festival Jogging !
Une exposition d'art contemporain réunissant 19 artistes sur l'univers du sport, qui interroge la condition humaine et les enjeux de l'art dans le monde contemporain.
Une installation immersive et participative qui détourne l'esprit des Jeux Olympiques en célébrant la lenteur, l'humour et la réflexion à travers des épreuves décalées et des performances interactives !
Créées par des étudiant·es en graphisme, deux affiches sportives et militantes sont sérigraphiées en direct par la sérigraphe Camille Balestra de Cause.s toujours !
Affiches réalisées par les étudiantes Nisrine Arod et Sondie Yoca Ondongo du DN MADE Graphisme du Lycée Claude Garamont à Colombes.
Au programme : des spectacles en journée et en soirée, des cours de sports et de bien-être, une expo XXL d'art contemporain, des ateliers et des installations participatives qui croisent les deux piliers du Carreau du Temple : l'art et le sport !
Spectacles
Les Cœurs Rouges
de Alexandre Blondel / Cie Carna
15h et 17h / Entrée libre / Halle
Trois hommes s'emparent de la pole dance pour déconstruire la masculinité et explorer de nouveaux rapports au corps et au mouvement !
À travers ce solo chorégraphique, Léa Deschaintres livre un témoignage poignant sur la violence qu'elle a imposée à son corps pour dépasser ses limites et modeler son physique.
Un trio de performeurs interroge les codes de la virilité et de l’intimité à travers des portés acrobatiques, mettant en lumière la tendresse, la confiance et la fragilité !
1h d'initiation à la pole dance, discipline alliant, technique, souplesse, tonicité et équilibre. Tout niveaux, et tout âge. Il n’y a pas de mal à se faire du bien !
Swedish Fit, anciennement la Gym Suédoise, ce sont des cours collectifs en musique accessibles à toustes, pour se remettre en forme, se muscler ou juste s’amuser.
Viens te challenger dans ce cours de HIIT, un entraînement alternant des périodes d’efforts intenses et de récupération, pour booster ton cardio, renforcer tout le corps et te dépasser.
Un entrainement hybride, athlétique et fonctionnel de 60 min ON THE BEAT ! Cette véritable expérience immersive prend racine dans la danse, le pilates et l’animal flow.
Sport, corps et genre : vers de nouvelles normes ?
15h30 à 17h / Entrée libre sur inscription / Salon (niveau -1)
Une rencontre animée par Cédric Enjalbert, rédacteur en chef adjoint de Philosophie magazine, avec en invités Anaïs Bohuon, Yannis Constantinidès, Arno Ferrera et Gilles Polet.
Une exposition d'art contemporain réunissant 19 artistes sur l'univers du sport, qui interroge la condition humaine et les enjeux de l'art dans le monde contemporain.
Une installation immersive et participative qui détourne l'esprit des Jeux Olympiques en célébrant la lenteur, l'humour et la réflexion à travers des épreuves décalées et des performances interactives !
Créées par des étudiant·es en graphisme, deux affiches sportives et militantes sont sérigraphiées en direct par la sérigraphe Camille Balestra de Cause.s toujours !
Affiches réalisées par les étudiantes Nisrine Arod et Sondie Yoca Ondongo du DN MADE Graphisme du Lycée Claude Garamont à Colombes.
Au travers de créations olfactives, les étudiant.es de l'École Supérieure du Parfum questionnement les liens entre sport et odorat et reconstituent les odeurs perçues lors d’une course selon les saisons, lors d’une ballade dans Paris, selon les continents ou encore selon l’époque.
Découvrez votre programme du samedi 24 mai au Festival Jogging : spectacles, cours de sport et bien-être, rencontre, art contemporain, installation et ateliers participatifs !