Le point de départ dans l’écriture de « La jeune femme à la licorne » était la figure de Laura, la jeune fille de « La ménagerie de verre » de Tennessee Williams. Figure ambivalente de fragilité et de désir. La jeune fille comme centre des espoirs et des regrets de chaque membre de la famille. L’ensemble de la pièce se déroule sous le regard lucide jusqu’au cynisme, bienveillant et désespéré de Thomas, le frère. Il est le récitant, à la fois sur le plateau, dans l’action, et autorisé à en sortir pour partager ses impressions à tout moment. La mère a choisi de croire dans la mascarade que la vie lui propose et tente avec ardeur de convaincre tout le monde d’y prendre part. Le frère de la jeune femme à la licorne n’a pas de licorne mais écrit de la poésie, qu’il roule en boule au fond des poches en attendant le retour du père. La vie se passe sous ses yeux, et il ne peut/veut y prendre part. La ménagerie de verre ce sont les membres de sa famille à travers lesquels il lit à livre ouvert.
En collaboration avec Marion Coutarel, metteuse en scène et comédienne au Théâtre de la Remise, et en partenariat avec des équipes artistiques régionales, La Bulle Bleue développe un théâtre de formation et de recherche où la présence de l’acteur est centrale.
Créée en février 2012, La Bulle Bleue est une compagnie de théâtre et un lieu de fabrique artistique et culturel, structurés en ESAT (Etablissement et service d’aide par le travail). La Bulle Bleue est animée par des personnes en situation de handicap accompagnées par des professionnels du travail social et de la culture. La Bulle Bleue diffuse trois spectacles, Faux-plafond (ciel variable), créé en décembre 2013 et La jeune femme à la licorne, coproduit par le Domaine d’O à Montpellier, créé en janvier 2014. Coeur d’encre est la dernière création de La Bulle Bleue.
Dans les Halles, ateliers, installations interactives et participatives pour jouer au foot autrement ; sur la Scène : spectacles, lectures, performances, projections de films cultes sur la discipline, et des tables-rondes pour dialoguer sur les mutations du football. Coup de Foot s’adresse à tous les publics : amoureux ou non du football, hommes et femmes, enfants et adultes. Tous les jours à partir de 11h, venez déchausser vos crampons !
> Le programme détaillé <
♦ Dans les Halles de 11h à 19h Un futsal (football en salle)avec tournois en pratiques libres et encadrées par l'association Tatane Un tournoi de brêles avec phases de sélection et une grande finale Une installation monumentale et ludique alliant terrain de foot et piscine à balles - Balapapa par Detroit Architectes Un boutique éphémère proposant objets, livres, revues spécialisées…autour de la culture foot La buvette Carreau Football Club : hot-dogs, burgers, yahourts glacés, foccacias...
♦ Dans les studios Un espace gaming PES Euro 2016 par Konami Une installation d’art contemporain Maportaliche#2/FC Kafka de Mustapha Benfodil (avec le soutien de la Cité internationale des arts) La vidéo d'art Aqua Foot de Kitsou Dubois Une exposition d’affiches autour du football, Soccer Poster par Airposter, collectif de designers graphiques Ciné Foot Miroir, un programme de courts métrages diffusé en continu avec l’association Miroir
♦ Sur Scène, une programmation éclectique autour du foot en soirée Des spectacles et performances Des débats et rencontres
Coup de foot c’est aussi des projections de films et documentaires en continu, des ateliers de tifologie avec l'association Gongle, du Bubble Bump dans le cadre de la finale de Paris Bibliothèques le samedi 9 juillet...
[Je te souviens] est une plongée dans nos mémoires qui pioche parmi les 270 Souviens-moi d’Yves Pagès (Éditions de l’Olivier, 2014) et les quelques 1500 I Remember de Joe Brainard (écrits entre 1970 et 1975, publié chez Actes Sud en 2002, réédition en 2015). Yves Pagès salue Georges Perec, qui s’est lui-même inspiré du leimotiv de Brainard lorsqu’il écrit ses Je me souviens. Une somme de fragments à l’humour poétique, deux œuvres qui se font écho, et dessinent en creux, entre intimité et représentation collective, un paysage réjouissant de notre époque contemporaine.
Théâtre musical d’après les Passions de Johann Sebastian Bach Un chemin de croix d’après « les Passions » en 14 stations, 14 situations contemporaines au sein desquelles chaque interprète prend la place centrale de l’humilié. Musiciens, chanteurs, comédiens, tous en scène dans des tableaux vivants où dialoguent le texte, la musique et les corps. Un spectacle qui fait résonner intimement la musique de Bach dans notre quotidien.
Festival Jerk Off (Queer & Alternatives) – Danse, Théâtre, Installation
Pluridisciplinaire, JERK OFF témoigne de la diversité des cultures queer mais interpelle bien au-delà. JERK OFF propose ainsi à tous les publics des découvertes artistiques aussi variées qu’exigeantes. C’est ainsi que tout au long de trois semaines d’événements, des chorégraphes, performeuses, photographes, musiciens, DJs… présenteront leurs créations en exclusivité parisienne à l’occasion du festival.
Soirée du 18 septembre : ORAGES de Benjamin Bertrand et NOTES POUR UNE TENTATIVE DE DISCERNEMENT de Camille Ollagnier Soirée du 19 septembre : DIVA VULVA de Sanna Kekäläinen et PARTNER YOU de Chantal Yzermans Soirée du 20 septembre : ROUND ROUND BABY ROUND ROUND de Mehdi-Georges Lahlou, BOUM de Xavier Deranlot et ORAGES de Benjamin Bertrand
Chambre noire est une hallucination sauvage autour de la vie de Valérie Jean Solanas (1936-1988), la plus belle enfant de toute l’Amérique, la psychologue de génie qui a passé sa vie à séjourner dans des instituts pour malades mentaux, la première « pute intellectuelle », l’auteure du SCUM Manifesto, manifeste féministe radical autoédité en 1967, la femme qui a tenté d'assassiner Andy Warhol.
Dans un écrin sombre et clinique traversé de néons évoquant les nuits grunge new-yorkaises, se joue un duo entre une marionnettiste, Yngvild Aspeli, et une musicienne, Ane Marthe Sørlien Holen. Avec une grande intelligence dramaturgique, elles composent un univers ensorcelant, mêlé de marionnettes à taille humaine, de projections vidéos et de percussions magnétiques. Un désert de solitude se dessine au travers de ce personnage complexe, pluriel, outrancier et absolument humain.
Si l'art marionnettique a conquis sa place aux premières loges du théâtre contemporain, c'est grâce à des explorations de cette envergure, de celles qui transgressent les frontières entre les matières, qui osent pulvériser l'opposition entre le vivant et l'inerte pour inventer une identité visuelle mettant à profit tout le spectre de l'« inquiétante étrangeté » qu'offre l'objet inanimé lorsqu'il est soudain manipulé par des experts. Onirique, érotique, dérangeant, fantastique, le spectacle déploie l'immense nuancier de la fureur émotionnelle que peut convoquer le théâtre d'objets.
D'un souffle rageur, ravivant le personnage de Valérie Solanas jusque dans ses méandres les plus intimes, Chambre Noire en révèle les deux visages, démentiel mais aussi visionnaire, inexorablement liés. C'est aussi l’oppression qui est donnée à voir, ainsi qu'une révolte, et les formes qu’elles ont pu revêtir ces dernières années. Une œuvre complète et singulière, à découvrir.
Le Mouffetard - Théâtre des arts de la marionnette œuvre pour la promotion des formes contemporaines des arts de la marionnette. Le partenariat entre les deux structures se poursuit en mai 2019 lors du Second Square consacré au théâtre d'objet dans le cadre de la 10ème Biennale internationale des arts de la marionnette.
En parrallèle du spectacle et dans le cadre de Second Square Imag(in)é Atelier manipulation - Marionnettes à taille humaine Samedi 27 et dimanche 28 octobre, de 17h à 18h30, adultes, 5€ sur inscription Un atelier de manipulation de marionnettes à taille humaine autour du spectacle Chambre noire*de Yngvild Aspeli de la compagnie Plexus Polaire, en représentation du 12 au 15 décembre au Carreau du Temple. Marionnettes humaines, animales, êtres hybrides crées par la compagnie… autant d’êtres étranges à manipuler, sous les conseils et la conduite de Pascale Blaison, manipulatrice et constructrice de marionnettes pour Chambre Noire, ainsi qu’intervenante à l’Ecole Supérieure des Arts de la Marionnette à Charleville-Mézières.
*Le tarif réduit sur le spectacle est accordé aux participants de l'atelier. Un atelier proposé par Pascale Blaison, en partenariat avec Le Mouffetard - théâtre des arts de la marionnette.
Par étapes de travail dans des lieux engagés auprès de la jeune création, FRAGMENT(S) donne en partage ce moment précieux et déterminant où le spectacle inachevé, encore en friche et en questionnement, a besoin d'une oreille. Il offre ainsi une rencontre exclusive entre des publics qui ont la chance de découvrir un processus de création, pris à témoins et libres d'en parler, et des artistes qui ont l'occasion de mettre à l'épreuve, avant l'heure, leurs intentions devant une réelle audience, et d'écouter ce qui se dit par la suite au bord du plateau.
ENTERRE-MOI MON AMOUR, Clea Petrolesi
« Je t’aime, donc je veux mourir avant toi. » Ce serait là une autre façon de traduire en français l'expression arabe « Enterre-Moi Mon Amour ».
En décembre 2015, Lucie Soullier publiait, dans le journal Le Monde, un article intitulé « Le voyage d’une migrante syrienne à travers son fil WhatsApp ». Clea Petrolesi s'inspire de ce récit documentaire et des 250 captures d’écran que la jeune Dana, alors en route vers l’Allemagne, a confiées plus tard à la journaliste. Ces images témoignent très précisément, par le biais de sa conversation WhatsApp qui la lie à ses proches, des douze jours de son voyage vers l’asile, racontent son exil. Bouleversante, cette histoire a en premier lieu, en 2016, curieusement donné naissance à un « jeu du réel », lequel proposait une immersion dans le quotidien de la jeune femme.
Durée : 30 min
GIRLS AND BOYS, Mélanie Leray
« J’ai rencontré mon mari dans la file d’embarquement d’un vol Easyjet et je dois dire que l’homme m’a tout de suite déplu. »
Une rencontre impromptue dans un aéroport se transforme en relation intense et passionnée. Le couple s'installe, achète une maison, fait deux enfants. Parallèlement, chacun s'investit dans sa carrière. Une famille ordinaire, en somme. Pourtant, avec ce monologue inattendu, complexe, drôle et brutal, Dennis Kelly continue de percer les apparences pour explorer l'âme humaine et appuyer là où ça fait mal, sans cynisme, mais sans concession.
Metteure en scène et comédienne, après l’Ecole du Théâtre National de Bretagne, Mélanie Leray co-fonde le Théâtre des Lucioles. Elle y travaille comme actrice et metteure en scène jusqu’en 2012, année de création de sa compagnie, la Cie 2052, avec laquelle elle met en scène des écritures contemporaines anglaises : Lucy Caldwell (Leaves), Mike Bartlett (Contractions), Nina Raine (Tribus) mais aussi Shakespeare (La Mégère apprivoisée ou comment dompter une insoumise).
Planté dans sa boîte à théâtre, navrant et attendrissant pantin, un soldat aboie ses convictions, ou plutôt celles qu'on lui a enfoncées dans le crâne. Toujours au garde-à-vous, cerné de microphones tel un grand orateur, il laisse seules ses lèvres s'agiter, dont sortent par flots les mots de la guerre, de la résignation, de la témérité insensée, de l'aveuglement. Dans sa bouche résonnent l'errance et l'endoctrinement des légionnaires, répétant à coups de cris féroces ce qu'on leur dicte, chants militaires ou devises de guerriers. Sa gorge est un cratère. Celui d'un volcan en éruption déversant une lave d'émotions enfouies qui, à peine jaillies, durcissent au contact de l'air en une forme de slam. Les gestes mécaniques, le regard fixe et hagard disent tout de la perte. Ici pourrait être ailleurs. Et vice versa.
Une performance vocale et physique soulignée par la pertinence du dispositif dramaturgique d'Hubert Colas, simple, drôle, ironique, efficace : mettre en scène le légionnaire en civil, planqué derrière son bosquet de micros à pieds, et faire porter le képi et les fanions au moniteur télé qui retransmet en direct son portrait en plan américain.
Mot caillou, le on scande le texte de Sonia Chiambretto. Car les képis blancs ne sont plus des individus, mais les organes d'un groupe, d'un improbable "on". Venant de toutes origines, ils inventent leur langue à eux, sentimentale, sédimentaire et imagée, qui se resserre autour d'un patrimoine commun, le chant de la peur, de la renonciation, mais aussi de l'espoir et du rêve. D'un sujet délicat et de la matière sonore de cette langue du soldat, qu'elle appelle "langue française étrangère", Sonia Chiambretto extrait un joyau brut.
L’Ordre du discours, texte phare du philosophe Michel Foucault, leçon inaugurale prononcée au Collège de France en 1970, n'a toutefois fait l'objet d'aucune capture, ni sonore, ni filmée. Fanny de Chaillé comble ce vide par le théâtre. Si penser, c'est bouger, comment, réciproquement, redonner corps à une pensée ? L'artiste construit, au sein même d'un amphithéâtre, une performance entre texte réel et fantasme.
L’Ordre du discours est un discours sur le discours, que sous-tend une hypothèse : chaque société régit, régule, organise et contrôle la production du discours. Parce qu'il a une matérialité, contient autant de pouvoirs que de dangers, il est un lieu de luttes et de blessures, de domination et de servitude. Et donc, d'inquiétude. Le philosophe lui-même introduisait sa leçon en partageant sa peur de dire : "Plutôt que de prendre la parole, j'aurais voulu être enveloppé par elle, m'apercevoir qu'au moment de parler, une voix sans nom me précédait depuis longtemps."
Ayant habitué son public à des formats atypiques, Fanny de Chaillé ne fait pas exception à la (non-) règle en confiant cette performance de soliste à Guillaume Bailliart, plongé dans une dialectique effervescente entre le langage et sa manifestation. Sur les bancs de l'université, nous assistons à une véritable métamorphose des écrits foucaldiens en une délicate partition gestuelle et une trame rythmique et vocale soutenue. Elle restitue la parole à la voix, la voix au corps, le corps aux gestes, s'appuie sur le théâtre pour mettre en danger la langue et, plus encore, inverse brillamment la structure du théâtre - des paroles et gestes réels dans un univers fictif - en mettant en scène, dans le cadre impitoyablement réel de la faculté, des mouvements qui parlent une langue fictive.
Une performance entre texte réel et fantasme, un discours sur le discours, autour de "L’Ordre du discours", texte phare du philosophe Michel Foucault !
Du vendredi 16 au lundi 26 juin 2023, le public est invité à découvrir les créations des associations et des établissements scolaires partenaires qui font jouer, chanter et danser plus de 4 000 personnes par semaine tout au long de l’année au Carreau du Temple. Réservé à la pratique artistique amateur et ouvert à tou·te·s, ce festival a pour objectif de faire partager, échanger et découvrir le fruit de leurs travaux.
Au programme :
Booty Therapy - Collectif Les Ambianceuses
Vendredi 16 juin 2023 à 19h30 - Durée : 1h - Tarif B : plein 12€ / réduit 8€ / demi-tarif 6€
Les Ambianceuses et les Bootykilleuses vont présenter le Booty Therapy Show ! À travers des chorégraphies et de la mise en scène, elles vous invitent à lâcher prise et à vous empouvoirer dans un esprit de sororité et de respect. Afrobeat, Dancehall, Twerk et bien d'autres ambiances.
Qu'est-ce qu'un cours de Booty Therapy ? Apprendre à assumer sa féminité et à se libérer de ses émotions en déhanchant son corps mais surtout ses fesses et son bassin ! La Booty Therapy est une pratique qui mêle sport, danse et développement personnel.
Samedi 17 juin 2023 à 19h - Durée : 1h - Gratuit sur réservation Billet à retirer sur place à l'accueil / billetterie avant le spectacle
Ricochet, un spectacle tendre, énergique et festif ! Fable musicale, Ricochet vous invite à rebondir autour d'un spectacle intergénérationnel regroupant 35 musiciens, interprètes et le chœur les Enchantés du Carreau. Les écueils de l'individualisme - isolement, situation de conflit, de blocage - nous imposent de répondre par un dépassement de soi et un retour aux autres. Sur fond de scénettes s'expriment en musique les émotions induites par un questionnement : comment changer, comment rebondir ?
Création originale, Ricochet s'est écrit et construit dans l'esprit d'un workshop créatif, les chansons et musiques choisies dans le répertoire des musiques classiques et actuelles. Plus d'infos ici
Thésée Time - Protection Judiciaire de la Jeunesse
Mercredi 21 juin 2023 à 20h - Durée : 60 minutes- Gratuit sur réservation Billet à retirer sur place à l'accueil / billetterie avant le spectacle
Icone de la mythologie grecque, Thésée incarne la force, c’est un combattant. Certains diraient « un mâle Alpha ». Il est connu pour avoir tué le Minotaure, le monstre avec un corps d’homme et une tête de taureau, aussi dangereux que bizarre et fragile. Le Minotaure, c’est tout ce qui ne ressemble pas à Thésée, tout ce qui lui fait peur. Ce fantasme de puissance masculine se retrouve dans toutes les cultures, depuis l’Antiquité, en passant par l’âge classique jusqu’aux super-héros de notre monde contemporain. Mais comment échapper à ce rapport obligatoire, appartenir au camp des forts, ou échouer dans celui des faibles ? Et comment cet idéal se retrouve dans l'idée que l'on se fait de nos pères ?
Pendant 12 séances d’initiation au théâtre, il a été proposé à un groupe d’adolescents et de femmes, accompagné par le service éducatif de milieu ouvert de la Protection Judiciaire de la Jeunesse du 19ème arrondissement, d’explorer cette relation filiale père/fils-fille. Comment regardons-nous nos pères ? Comment leur parlons-nous ? Thésée Time !, c’est le temps d’une représentation, descendre dans nos labyrinthes et tenter de s’adresser à nos pères.
Mise en scène : Delphine Léonard et Amandine Pudlo
Samedi 24 juin 2023 à 19h - Durée : 1h30 - Tarif B : plein 12€ / réduit 8€ / demi-tarif 6€
Inspirez, Exprimez, Improvisez, Partagez ! L’air ivre présentera ses nouvelles créations explorant les fondements de la danse contemporaine (temps, espace, poids, forme, flux, présence…) de façon originale et créative. Pour l’occasion, elle invite plusieurs compagnies amies à partager la scène avec au programme de la danse contemporaine et danse-improvisation. Plus d'infos ici
« RITMOS » le cœur du flamenco qui bat - Atika Flamenco
Lundi 26 juin 2023 à 20h - Durée : 1h30 - Tarif unique à 15€
L’association Atika Flamenco vous invite à un spectacle foisonnant de couleurs, où des tableaux de musique et de danse vous feront ressentir le cœur du flamenco qui bat avec sa beauté et sa force. Laissez-vous transporter par les rythmes et les mélodies des guitares et des castagnettes qui se mêleront à la poésie chantée et aux mouvements ondulants des danseurs, en un ensemble harmonieux et indissociable.
Chorégraphies et adaptations : Maria Donzella Guitare et direction Musicale : Pascal Gaubert Chant : Mercedes Cortés Avec la participation des élèves de danse et de guitare de l’association ATIKA.
Sur les bancs du Carreau est un événement festif et artistique qui donne rendez-vous aux petits comme aux grands pour des spectacles, concerts ainsi que bien d'autres surprises.