Le Bleu du caftan

Synopsis : Halim est marié depuis longtemps à Mina, avec qui il tient un magasin traditionnel de caftans dans la médina de Salé, au Maroc. Le couple vit depuis toujours avec le secret d’Halim, son homosexualité qu’il a appris à taire. La maladie de Mina et l’arrivée d’un jeune apprenti vont bouleverser cet équilibre. Unis dans leur amour, chacun va aider l’autre à affronter ses peurs.

La projection sera suivie d'une rencontre avec des professionnel·les ayant participé aux films : réalisateur·rices, acteur·rices, décorateur·rices…

En savoir plus sur le film :

  • Pendant les repérages de son précédent film Adam, Maryam Touzani a fait une rencontre décisive dans la médina de Salé avec un homme qui tenait un salon de coiffure pour dames, qui a inspiré le personnage d’Halim (Saleh Bakri).
  • La réalisatrice a voulu faire un film sensoriel : « Avec Virginie Surdej, on a voulu mettre en lumière le travail des maalem dans la beauté de ses détails. La lumière traverse les différents lieux et nous aide à aller vers la profondeur des émotions des personnages. »
  • Maryam Touzani et la costumière Rafika Benmaimoune ont beaucoup travaillé en amont sur le choix des couleurs : celles des caftans comme celles des vêtements des personnages. Halim arbore une élégance innée que la cinéaste a voulu raconter à travers ses habits.
  • Le Bleu du caftan a remporté plusieurs prix en France et à l'international : Prix du Jury au Festival international du film de Marrakech (2022), Prix de la Mise en scène et du Meilleur acteur (Saleh Bakri) au Festival du Film Francophone d'Angoulême (2022), Prix du Meilleur acteur (Saleh Bakri), de la Meilleure actrice (Lubna Azabal) et Prix du Jury au Festival 2 Cinéma de Valenciennes (2022).
  • Le film a été nominé dans la sélection officielle « Un Certain Regard » au Festival de Cannes en 2022.

Avec « Le Bleu du caftan », Maryam Touzani dépeint l'homosexualité au Maroc à travers un triangle amoureux où les désirs se heurtent.

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Cinéma & rencontre 2025-2026

CinéCaro, association de cinéphiles et fidèle programmatrice des séances de cinéma du Carreau du Temple, propose pour cette nouvelle saison une sélection de fictions et documentaires abordant cette année la thématique de la métamorphose.

Cette année, une séance est destinée aux enfants avec La Belle et la Bête de Jean Cocteau, car l'éducation à l'image débute dès le plus jeune âge.

  • Mardi 18 novembre à 19h30 : Le Bleu du caftan de Maryam Touzani / Drame
    (2023 - 2h04 - France, Maroc, Belgique, Danemark)

Maryam Touzani dépeint l'homosexualité au Maroc à travers un triangle amoureux où les désirs se heurtent. Un film poétique, audacieux, sensuel et sensible.

  • Mardi 16 décembre à 19h30 : The Danish Girl de Tom Hooper / Drame
    (2015 - 2h - USA, Royaume-Uni, Allemagne, Danemark)

The Danish Girl retrace la remarquable histoire d'amour de Gerda Wegener et Lili Elbe, née Einar Wegener, l'artiste danoise connue comme la première personne à avoir subi une chirurgie de réattribution sexuelle en 1930.

  • Mardi 20 janvier à 19h30 : Resilient Man (2024) de Stéphane Carrel / Documentaire
    (2024 - 1h30 - France)

Un documentaire généreux sur la résilience d'un danseur étoile, porté par sa passion et sa ténacité. Au sommet de sa gloire Steven McRae, brillant danseur étoile au Royal Ballet de Londres se blesse au tendon d'Achille et s'effondre sur scène.

Jean Cocteau, cinéaste-poète, tisse, dans une atmosphère qui tient du merveilleux et du surréalisme, un chef-d'œuvre enchanteur, un conte cruel d’une grande beauté en noir et blanc.

Dans cette œuvre à la beauté indéniable, Kim Ki-Duk décrit toutes les phases d'une vie humaine avec subtilité. Une fable sur l'apprentissage spirituel, entre quiétude bouddhique et tentations matérialistes.

  • Mardi 12 mai à 19h30 : Under the Skin (2014) de Jonathan Glazer / Science-fiction

Jonathan Glazer réalise un film envoûtant autant par son esthétique que par le choix de son actrice principale, Scarlett Johansson incarnant une tueuse extraterrestre qui s'humanise peu à peu.

Projections suivies d’une rencontre / débat avec des professionnel·les ayant participé aux films : réalisateur·rices, acteur·rices, décorateur·rices…

Pour cette nouvelle saison, un voyage cinématographique sur la thématique de la métamorphose avec CinéCaro, fidèle programmateur de vos séances de cinéma au Carreau du Temple !

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The Danish Girl

Synopsis : Dans le Danemark des années 1920, Gerda et Einar Wegener, tous deux artistes peintres, sont mariés et vivent une remarquable histoire d’amour. Pourtant Einar exprime peu à peu son souhait impérieux de devenir Lili. Le mariage et le travail de Lili et Gerda évoluent alors qu’ils s’embarquent sur les territoires encore inconnus du transgenre…

La projection sera suivie d'une rencontre avec des professionnel·les ayant participé aux films : réalisateur·rices, acteur·rices, décorateur·rices…

  • The Danish Girl retrace l'histoire de Lili Elbe / Einar Wegener, une artiste danoise connue pour avoir été la première personne à subir une opération pour changer de sexe. 
  • En plus de l'aspect biographique, Tom Hooper s'est aussi inspiré du livre de David Ebershoff, un récit romancé sur la vie de Lili Elbe, dont il a choisi de reprendre quelques éléments tout en suivant l'histoire vraie.
  • Afin de préparer son rôle, Eddie Redmayne a fait beaucoup de recherches sur les personnes transgenres et sur la vraie Lili Elbe. L'acteur a travaillé sa voix pour qu'elle soit plus grave, a pris des cours avec un coach de Londres, qui a l'habitude d'exercer avec des personnes transgenres. Pour terminer sa transformation, Eddie Redmayne n'a pas hésité à perdre 7 kilos.
  • Sur le tournage, pour mieux se glisser dans la peau d'une femme, Eddie Redmayne observait son épouse, Hannah Bagshawe, se mettre du rouge à lèvres et Jan Sewell maquiller d'autres acteurs. L'acteur a aussi eu l'idée de reproduire la façon de se tenir assise de Jan Sewell, chef coiffeuse et maquilleuse, et de s'en servir pour le film.
  • The Danish Girl n'est pas le premier film à aborder le transgenre au cinéma. On se souvient notamment de Laurence Anyways réalisé par Xavier Dolan, Transamerica de Duncan Tucker avec Felicity Huffman, Une nouvelle amie de François Ozon avec Romain Duris, et Ma vie en rose de Alain Berliner. 

La remarquable histoire d'amour de Gerda Wegener et Lili Elbe, née Einar Wegener, artiste danoise et première personne à avoir subi une chirurgie de réattribution sexuelle en 1930 !

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Printemps, été, automne, hiver… et printemps

Synopsis : Un maître zen et son disciple vivent au cœur d'un temple bouddhiste en bois : au fil des saisons, leurs sentiments évoluent...

Dans cette œuvre à la beauté indéniable, Kim Ki-duk décrit toutes les phases d'une vie humaine avec subtilité. Une fable sur l'apprentissage spirituel, entre quiétude bouddhique et tentations matérialistes.

La projection sera suivie d'une rencontre avec des professionnel·les ayant participé aux films : réalisateur·rices, acteur·rices, décorateur·rices…

  • Le film utilise une symbolique bouddhiste dont une grande partie échappe aux non-initiés. Parmi ces symboliques, on peut analyser les animaux : le chien pour le premier printemps, le coq pour l'été, le chat pour l'automne, le serpent pour l'hiver et la tortue pour le deuxième printemps.
  • Le cinéaste Kim Ki-duk joue lui-même le rôle de l'élève bouddhiste dans les deux dernières saisons.
  • C'est la réserve naturelle de Jusan dans la province du Gyeongsangbuk-do qui a servi de décor au film.
  • Le film a remporté plusieurs prix : Grand Prix du Festival Pacific Meridian de 2004, Prix du meilleur film lors des Blue Dragon Film Awards de 2003, Prix du jury junior au Festival international du film de Locarno de 2003, Prix Arte et CICAE au Festival international du film de Locarno de 2003, Prix Don Quichotte et Prix NETPAC au Festival international du film de Locarno de 2003, Prix du public au Festival de San Sebastian de 2003.

Une fable à la beauté indéniable de Kim Ki-duk sur l'apprentissage spirituel, entre quiétude bouddhique et tentations matérialistes.

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Under the Skin

Synopsis : Une extraterrestre arrive sur Terre pour séduire des hommes avant de les faire disparaître

Jonathan Glazer réalise un film envoûtant autant par son esthétique que par le choix de son actrice principale, Scarlett Johansson incarnant une tueuse extraterrestre qui s'humanise peu à peu.

La projection sera suivie d'une rencontre avec des professionnel·les ayant participé aux films : réalisateur·rices, acteur·rices, décorateur·rices…

  • Under the skin est l'adaptation du roman Sous la peau de Michel Faber. Ce dernier a participé à la rédaction du scénario final.
  • Le tournage a pris pour cadre l'Écosse : « L’Écosse se prêtait parfaitement à un sentiment d'étrangeté. Et le peu de dialogues se justifiait pleinement : l'intention des scènes et le comportement du personnage sont suffisamment limpides pour éviter les longues tirades », justifie le réalisateur
  • Les hommes attirés dans le van par le personnage de Scarlett Johansson ne sont pas des acteurs mais des badauds leurrés par l'actrice. Jonathan Glazer avait dissimulé des caméras à l'intérieur du van et n'a informé les malheureux qu'après coup qu'ils étaient sur le tournage d'un film.
  • Le film est élu meilleur film des années 2010 par La Septième Obsession et placé 9e du classement des dix meilleurs films de la décennie par les Cahiers du cinéma.
  • Le film a remporté plusieurs prix au British Independant Film Award en 2013 : meilleur actrice, meilleur réalisateur et meilleur technicien (pour Johnnie Burn au son et Mica Levi à la musique).

Un film envoûtant de Jonathan Glazer, où Scarlett Johansson incarne une tueuse extraterrestre qui s'humanise peu à peu.

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Resilient Man

Synopsis : Au sommet de sa gloire, Steven McRae, brillant danseur étoile au Royal Ballet de Londres se blesse au tendon d’Achille et s’effondre sur scène. Sa carrière semble finie. Pourtant, après 2 ans d’absence, accompagné par ses entraîneurs et l’équipe médicale de la compagnie, il suit un programme spécial pour revenir à son plus haut niveau. Malgré l’adversité, Steven McRae compte bien remonter sur scène et danser à nouveau les plus prestigieux rôles du répertoire...

La projection sera suivie d'une rencontre avec des professionnel·les ayant participé aux films : réalisateur·rices, acteur·rices, décorateur·rices…

Un documentaire généreux sur la résilience d'un danseur étoile, porté par sa passion et sa ténacité.

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La Belle et la Bête

Synopsis : Quelque part au temps jadis, il était une fois un brave homme veuf et père de quatre jeunes gens. Une fille prénommée Belle, qui était aussi bonne et dévouée à son père que ses deux aînées étaient ingrates et chipies. Le fils, un sympathique bon à rien allait toujours flanqué de son ami Avenant, épris de Belle qui se refusait au mariage. Un soir qu’il revenait à son foyer, le père s’égara et trouva refuge dans une demeure enchantée qui lui offrit dîner et repos. Alors qu’il repartait, il cueillit une rose pour Belle, déchaînant le courroux du seigneur des lieux resté jusqu’alors invisible. Un être fabuleux mi-homme mi-bête, qui le condamna soit à mourir soit à lui livrer une de ses filles. Ainsi commence le conte qui mettra la Belle en présence de la Bête, lui révélant du même coup l’irrésistible et mystérieuse puissance de l’amour.

Cinéaste-poète, Jean Cocteau tisse un chef-d'œuvre enchanteur d’une grande beauté en noir et blanc, à partir de cet illustre conte cruel, dans une atmosphère qui tient du merveilleux et du surréalisme.

La projection sera suivie d'une rencontre avec des professionnel·les ayant participé aux films : réalisateur·rices, acteur·rices, décorateur·rices…

  • La Belle et la Bête est la première véritable adaptation cinématographique du conte écrit en 1757 par Mme Leprince de Beaumont.
  • Les extérieurs du monde de Belle sont largement éclairés car réels, et ses intérieurs sont influencés par les peintures des maîtres flamands et hollandais comme Vermeer (1632-1675). Le monde de la Bête, sombre et mystérieux, se réfère quant à lui aux gravures de Gustave Doré (1832-1883).
  • Le film a été tourné durant l'après-guerre (du 27 août 1945 au 11 janvier 1946), où les conditions de travail n'étaient pas des plus confortables : difficultés à trouver de la pellicule, restriction d'électricité, pannes de courant ou encore absence de lumière de studio.
  • Jean Marais a imaginé au départ une Bête à tête de cerf, mais le costumier Christian Bérard lui a démontré que la Bête devait effrayer et ne pouvait être en conséquence que carnivore. Le fameux masque fut confectionné par Pontet, un grand perruquier parisien. Le maquillage très pénible prenait cinq heures chaque jour : trois heures pour le visage et une heure pour chaque main.
  • Le film a inspiré plusieurs œuvres artistiques par la suite : le dessin animé des studios Disney, un opéra de Philip Glass en 1995, un ballet de Ethery Pagava en 2013, le film fantastique La Forme de l'eau de Guillermo Del Toro
  • Le film a remporté le Prix Louis-Delluc en 1946, récompense annuelle et unique pour le cinéma français à l'époque.

Un chef-d'œuvre enchanteur en noir et blanc, où Jean Cocteau revisite le conte de la Belle et la Bête entre merveilleux et surréalisme.

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Violences sexistes et sexuelles : pour une loi intégrale

Vendredi 18 octobre 2024 à 19h30 / Salle de spectacle / Tout public

Chaque année, 160 000 enfants victimes de violences sexuelles, un viol toutes les sept minutes, un féminicide tous les deux jours et demi.

Pourtant rien. On ne veut pas entendre les victimes et on ne veut pas voir les agresseurs. Politis et la Fondation des femmes, avec les membres de la coalition pour une loi intégrale contre les violences sexistes et sexuelles, vous invitent à une soirée de mobilisation. Pour que ça change enfin !

Avec la participation des associations membres de la coalition pour une loi intégrale qui feront des annonces à cette occasion.

Déroulé de la soirée

  • 19h30 : Ouverture et mot d'introduction
  • 19h40 : Table ronde « Quand croira-t-on les enfants ? » avec : Arnaud Gallais, ancien membre de la CIIVISE et fondateur du Mouv'Enfants ; Rebecca Wakim, victime d’inceste ayant participé à l’appel à témoignages de Politis et animatrice de groupes de parole pour l’association « En Parler » ; Anne-Emmanuelle Demartini, historienne et coordinatrice de l’ouvrage « Entendre, dire et juger l’inceste du Moyen-Age à nos jours » (Seuil)
  • 20h40 : Échange avec le public
  • 21h10 : Seule en scène de Nadège Beausson-Diagne
  • 21h30 : Table ronde « Pourquoi une loi intégrale ? » (intervenant·es à confirmer)
  • 22h30 : Projection de Moi aussi de Judith Godrèche
  • 22h50 : Conclusion / Concert de Mathilde

Billetterie libre à partir de 5€ / Les bénéfices seront reversés aux associations.

Une soirée pour une loi intégrale sur les violences sexistes et sexuelles : tables rondes, concert de Mathilde, projection de "Moi aussi" de et en présence de Judith Godrèche

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Films, expos et livres / Food Temple California

Projections : de Hollywood à Food Temple

Nouveauté de cette édition, l’immersion californienne se poursuit avec une sélection de films made in Hollywood projetés en soirées sur un écran géant dans la Halle ! Confortablement installé·es dans un transat ou à l’une des grandes tablées conviviales, le public pourra déguster ses California rolls devant des grands classiques issus d'Hollywood. Sans oublier les cocktails de Fayçal Mokhchane, Chef barman du Bar Talaé, imaginés sur mesure en écho à chaque film ! À l'affiche :

La La Land - Damien Chazelle

La La Land, Damien Chazelle (2016)

Vendredi 20 septembre 2024 à 19h30 / Entrée libre

Au cœur de Los Angeles, une actrice en devenir prénommée Mia sert des cafés entre des auditions. De son côté, Sebastian, passionné de jazz, joue du piano dans des clubs miteux pour assurer sa subsistance. Tous deux sont bien loin de la vie rêvée à laquelle ils aspirent, mais ils développent des sentiments amoureux l'un pour l'autre.

Monterey Pop - Donn Alan Pennebaker

Monterey Pop, Donn Alan Pennebaker (1968)

Samedi 21 septembre 2024 à 19h30 / Entrée libre

Un film musical passionnant sur le plus important festival américain de rock tenu en Californie, avant le Festival de Woodstock ! Avec des performances électrisantes de Jimi Hendrix, The Who, Simon & Garfunkel et The Mamas & the Papas entre autres.

Les Seigneurs de Dogtown - Catherine Hardwicke

Les Seigneurs de Dogtown, Catherine Hardwicke (2005)

Samedi 21 septembre 2024 à 20h40 / Entrée libre

Le film est basé sur l'histoire des Z-Boys, un groupe californien de skaters qui ont eu une influence considérable sur le mouvement et ont révolutionné le sport.

DJ Set

Rox R

DJ Rox R

Vendredi 20 septembre 2024 de 21h30 à 23h / Entrée libre

Le vendredi soir, à l’issue de la projection du film La La Land, le DJ Set du DJ Rox R promet de revenir sur les titres phares d’une Californie qui a su rayonner musicalement à travers le monde avec un set aux accents pop, R’n’B et house !

Expositions photographiques

Wipplay - Los Angeles © Arnaud Quaranta

California Love / Entrée libre, en continu

Depuis plusieurs années, Food Temple présente dans la Halle les photographies lauréates du concours de photos établi en partenariat avec l’agence Wipplay autour de la thématique gastronomique du festival. Cette année, les plus beaux clichés de la Californie seront présentés !

Exposition photo - Ludwig Favre

Ludwig Favre / Entrée libre, en continu

Une sélection de clichés du photographe français Ludwig Favre, qui s’est imposé parmi les photographes émergents à suivre grâce à son esthétique pointue, sera exposée dans la Halle, avec la promesse encore une fois de voyager sur la côté ouest américaine !

Livres & Signatures

Librairie Paroles

Librairie Paroles / Entrée libre, en continu

On ne compte plus les livres sur la Californie ! La librairie Paroles vous concocte une belle sélection d’ouvrages littéraires et culinaires autour de la destination de cette année, ainsi que quelques auteur·e·s en signature.

Dédicaces du samedi :

  • 12h : Adriano Farano - Mangez néolithique !
  • 15h : Simon Bénitah - Will's Deli : Legalize pastrami
  • 16h30 : Céline Maguet - La bonne cuisine des légumes
  • 18h : Caleigh Megless Schmidt - Happy & veggie
  • 19h30 : François Perret - A chef in the truck et Instants sucrés au Ritz Paris

Dédicaces du dimanche :

  • 12h : Cathleen Clarity - La Cuisine Américaine
  • 13h30 : Carrie Salomon - Breakfast all day et Poisson cru
  • 15h : Manon Fleury - Céréales : recettes d’une cheffe engagée

Cours de sport

California Barre ® - Sophia Jeremiasz

California Barre ® avec Sophia Jeremiasz

Samedi 21 septembre 2024 de 11h30 à 12h30 / Studio de Flore / Tarif unique à 10€

Nourrie de plusieurs influences, la California Barre® se fonde particulièrement sur le fitness et le ballet. La discipline nous vient de Californie comme son nom l’indique, et de Sophia Jeremiasz, qui nous ramène l’idée de San Diego.

Sets de table et design

Californie - Lili Baffie-Riou

Cette année encore, une carte blanche est proposée aux élèves en gravure de l’école artistique Estienne, en partenariat avec Le Carreau du Temple, pour imaginer des sets de table qui habilleront de leurs jolies couleurs les tables de Food Temple.

Les visuels présentés dans le cadre de ce partenariat entre l’école Estienne et le Carreau du Temple ont été réalisés en gravure sur bois perdu par les étudiants de 1ère année du parcours de DNmade Gravure, Images-Imprimées.

L’école Estienne, École supérieure des arts et industries graphiques (ESAIG), est un établissement français d’enseignement supérieur public situé dans le 13e arrondissement de Paris. Elle forme de jeunes créateurs dans les métiers de l’imprimerie, du design de communication et des métiers d’art du livre.

Le DNmade, diplôme national des métiers d’art et de Design, est une formation en 3 ans. Le parcours Gravure, Images-Imprimées, est constitué de 12 étudiants couplés pour les enseignements théoriques et transversaux avec le parcours Image et Narration au sein de la mention Livre.

La gravure en bois perdu n’utilise qu’une seule matrice de bois, la plaque est progressivement creusée pour imprimer successivement chaque couleur, de la plus claire à la plus foncée.

Visit California - Newport

The Ultimate Playground

Visit California, partenaire officiel de cette édition, invite les visiteurs de Food Temple à une escapade cool et détente à travers le célèbre « Golden State », LE terrain de jeu par excellence pour tous les types de voyageurs. Skate, roller, street food, vin, cinéma, musique, couleurs, cocktails, glaces, soleil, beach vibes, c’est tout l’esprit fun et libre de la Californie qui débarque au Carreau du Temple pour 3 jours !

Retrouvez toute la programmation en cliquant sur ce lien

Exposition photo - Ludwig Favre

De Paris à Los Angeles, le passage de la flamme

À l’occasion des Jeux Olympiques et Paralympiques, les trois dernières éditions de Food Temple ont été labellisées Olympiade Culturelle, afin de célébrer les valeurs d’échanges et de partages véhiculées dans la cuisine comme dans le sport. Des athlètes ont ainsi été invité·es à partager leurs recettes. Les prochains jeux se déroulant à Los Angeles, cette édition de Food Temple propose d’anticiper le passage de la flamme de Paris à la Cité des Anges.

Exposition Athlètes du goût & sérigraphie d'Anne Desrivières

À cette occasion, sera présenté l’ouvrage Athlètes en cuisine - réalisé par Le Carreau du Temple en collaboration avec Alimentation Générale - qui présente des recettes de sportifs et sportives. Il est accompagné d’une masterclass de Manon Fleury et Brice Guyard qui présentera une des recettes du livre, ainsi qu’une exposition du travail graphique réalisé avec Anne Desrivières.

Le Carreau du Temple et Paris 2024 collaborent dans le cadre de l’Olympiade Culturelle de Paris 2024.

Si la gastronomie est au cœur du festival, Food Temple invite d’autres formes d’expression autour de sa table : musique, cinéma, photographie, littérature et sport pour que la fête soit complète !

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Food Temple California

Peut-on vraiment définir une cuisine qui serait californienne ? Fans de bio - organic disent-ils - les Californiens ont adopté le phénomène « locavore » depuis bien longtemps, et sont aujourd’hui de plus en plus adeptes de la cuisine vegan. Mais la grande particularité de la Californie, en particulier à San Francisco ou Los Angeles, c’est certainement que l’on y trouve toutes les cuisines du monde (ou presque) à tous les prix : de la street food à la New American Cuisine, avec une place de choix pour la cuisine mexicaine et chinoise qui y sont très représentées.

En guise de passage de relais des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris2024 et de Los Angeles en 2028, Le Carreau du Temple consacre cette nouvelle édition de Food Temple à la cuisine californienne. Le festival invite donc des restaurants californiens installés à Paris comme Echo, Paris Mexico ou encore Will's Deli et d’autres cuisines aux influences mexicaines, coréennes ou chinoises. Cette édition cherche à prendre le pouls et l’énergie de ce vaste territoire et de ses villes mythiques, de ses couleurs incroyables entre Sunrise et Sunset. Les masterclass de cuisine seront sous influence d’une cuisine saine et végétale « Farm to table », tandis que le marché de Food Temple fera un clin d’œil au Farmers Market de Los Angeles.

Pendant 3 jours, on s’immerge dans l’imaginaire californien, entre paysages grandioses et films mythiques, palmiers et bouées roses, esprit rebelle du skate et vent de liberté. Du 20 au 22 septembre, retrouvons-nous pour partager un peu de cette culture californienne !

Au programme : petits plats, masterclass et ateliers de cuisine, films made in Hollywood, expo photos, cours de California barre, skate & rollers, marché d’artisans d’Île-de-France…

Logo Visit California

En partenariat avec Visit California - En savoir plus

En partenariat avec l'Institut Français

Pour la huitième édition de Food Temple, le rendez-vous incontournable de la rentrée, Le Carreau du Temple invite la Californie et sa cuisine saine aux multiples influences dans l'assiette !

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