Forum des associations sportives et artistiques 2020

Bien vivre en ville, bouger, prendre soin de son corps, de son esprit et de son environnement, transmettre, agir en citoyen, réfléchir ensemble, contempler, s’étonner, innover... Les fers de lance du Carreau du Temple, plus que jamais d'actualité, sont au cœur de son week-end de rentrée, avec le samedi, une journée consacrée aux sports et aux pratiques artistiques et le dimanche aux arts dans l'espace public avec le Festival Les Traversées du Marais. 

Grand moment de convivialité et de festivités à la fin de l'été, le samedi de rentrée au Carreau du Temple offre une grande plateforme à la crème des associations parisiennes de pratiques sportives et artistiques. Sélectionnées pour leur savoir-faire et leur goût pour la transmission, près de 80 professionnels présentent leurs disciplines : yoga, voguing, escrime, fanfare, cirque, capoeira, etc. dans les espaces privilégiés du Carreau. Toutes les disciplines, des plus traditionnelles aux plus contemporaines, s'offrent à nous et à nos enfants pour la saison à venir.

Découvrir tous les cours et stages du Carreau du Temple

AU PROGRAMME

Pour cette journée, c'est l'occasion rêvée pour aller repérer vos activités de l'année, à travers des démonstrations, initiations, cours grand format, ou simples discussions avec les intervenants.

Le dimanche, c'est au tour des arts vivants, autre moteur du Carreau du Temple, de s'offrir en partage aux petits et aux grands. Cette année, trois performances architecturales, plastiques et musicales investissent la Halle du Carreau en continu dans le cadre du Festival Les Traversées du Marais.

Le weekend de rentrée au Carreau du Temple, c'est toujours un grand moment de convivialité et de festivités, en accès libre !

Lire la suite

Galeristes 2020

Voici trente ans que Stéphane Corréard, critique d’art, commissaire d’exposition, collectionneur, galeriste, dédie sa carrière à l’art contemporain. Il y a cinq ans, Galeristes a vu le jour au Carreau du Temple, écrin qu’il a choisi pour sa situation en plein cœur d’un quartier de galeries.

Galeristes, comme son nom l’indique, invite à rencontrer les acteurs des galeries autant que leurs contenus, et ce simple changement de prisme est, à lui seul, unique en son genre. Autour de leur passion commune, les amateurs découvrent ainsi la personnalité des galeristes, leur parcours, leurs engouements personnels et autres centres d’intérêts. Aussi les espaces s’offrent-ils, à rebours de l’anonymat d’une foire, comme autant d’autoportraits des galeristes, qui imaginent ici leurs propres cartes d’identité.

Le comité de sélection, constitué de collectionneurs, a donc pour vocation de révéler des talents du métier en fonction de leurs qualités professionnelles, qui s’articulent, selon la déontologie de Galeristes, autour d’une question cardinale : l’accompagnement. Sont-ils de bons « passeurs » ? Émancipent-ils les artistes, en organisant des rencontres, des publications ? Parallèlement, instruisent-ils bien le public ?

En se recentrant autour de ces valeurs, Galeristes s’articule autour de l’Anthologie de l’art français, section réunissant seize solo shows d’artistes historiques de la scène française. Grâce à une médiation spécifique, l’ambition de cette Anthologie est de présenter la scène française historique au public le plus large.

En 2020, Galeristes - le rendez-vous annuel des amateurs d’art et des galeristes engagés - célèbre ses 5 ans sous la Halle du Carreau du Temple !

Lire la suite

Reflecting Residencies #1

Compte-tenu du développement de la pandémie de covid-19, le symposium Reflecting Residencies prévu au Carreau du Temple à Paris est devenu impossible en présentiel. Cependant, toute l'équipe est ravie de vous annoncer qu'il aura bien lieu, au format digital. L'événement est disponible en anglais et en fran­çais.

Inscription ouverte à tou.tes pour les tables rondes :

Si vous étiez inscrit.e au Carreau du Temple, merci de renouveler votre inscription.

Retrouvez le programme complet : cliquez ici !

.....................................................................................................

Pour ses 10 ans, Arts en résidence - Réseau national organise REFLECTING RESIDENCIES, symposium international sur les résidences d'artistes au prisme de deux enjeux actuels : développement international et pérennisation ; secteur privé et collaborations territoriales. En collaboration avec l'Institut français.

L’objectif de ces journées de rencontres et de débats est d'analyser une sélection variée de programmes de résidences en France et à travers le monde, en suivant deux axes majeurs de réflexion : d’une part, le développement et la pérennisation des échanges internationaux dans les programmes de résidences, d’autre part, le développement territorial à travers des résidences du secteur privé et leur collaboration avec les acteurs publics.

REFLECTING RESIDENCIES, c'est 2 jours de tables rondes, ateliers, focus avec 40 professionnels internationaux, artistes, représentants de structures et de réseaux provenant de 10 pays !

PLUS DE 30 INTERVENANT.E.S DE FRANCE ET DE L'ÉTRANGER

Des représentant.e.s de structures publiques ou privées ancrées en territoires ruraux ou urbains, seront présent.e.s pour évoquer à partir de leurs expériences dont la sélection est volontairement variée. Des artistes seront également les premiers témoins et partie prenantes de ce colloque. Enfin, deux experts accompagneront l’ensemble des réflexions pour nous livrer leurs analyses.

Ce colloque est gratuit et ouvert à tous les publics. Il est élaboré en particulier pour l’ensemble des professionnel.les qui œuvrent à des programmes de résidences ou qui souhaitent en mettre en place : directeurs et employés de structures du champ de l’art contemporain ; artistes-auteurs ; agents et élus des collectivités territoriales et d’État ; secteur privé ; réseaux internationaux ; etc.

UN PROGRAMME RYTHMÉ PAR DIFFÉRENTS FORMATS

Reflecting residencies s'étend sur deux journées de colloque, faisant alterner différents formats de prise de parole, d’échanges, d’analyse et de formations.

  • Tables-rondes et débats : Les tables-rondes dressent un panorama de la thématique traitée, qui est suivi d'un déroulé d'exemples inspirants présentés par des professionnel.le.s ; enfin un focus mettra en lumière une expérience particulière.
  • Création artistique : Les artistes étant au cœur des thématiques du colloque, plusieurs temps de présentation de travaux d'artistes seront programmés au cours des deux journées (performance, diffusion vidéo, présentation de projets...).
  • Ateliers : Quatre ateliers professionnels digitalisés sont proposés par Arts en résidence pour permettre à tou·tes de développer ses compétences sur la pratique de la résidence d'artistes.

Traduction : L'événement est entièrement disponible en anglais et en fran­çais.

Un événement inédit en France pour les résidences en arts visuels !

Lire la suite

D’où vient ce désir…*

*Titre complet du spectacle : D'où vient ce désir, partagé par tant d'hommes, qui les pousse à aller voir ce qu'il y a au fond d'un trou ?

Féru de faits divers et de romans policiers, Thibaud Croisy se glisse dans la peau d’un enquêteur pour nous embarquer dans une fiction qui entremêle une conférence de criminologie et une étrange histoire d'amour.

Dans un paysage scénique imaginé par Sallahdyn Khatir, évoquant à la fois un espace naturel et une zone mystérieuse de notre inconscient, Thibaud Croisy endosse le rôle d’un criminologue et nous livre un cours douteux dans lequel il décode les mécanismes du passage à l’acte.

Parallèlement, le récit d’une histoire d’amour ambiguë avec une jeune médecin légiste passionnée de thanatopraxie l'interroge : mais où sont donc les vrais morts après avoir été passés à la moulinette des grilles d’analyse des experts ?

Dans les dédales de cette romance surréaliste entre deux êtres que rapproche leur fascination pour les cadavres, Thibaud Croisy poursuit sa tentative de redonner corps à une parole charnelle.

À mi-chemin entre le conte macabre et les histoires extraordinaires à la Pierre Bellemare, cette nouvelle pièce du puzzle de Thibaud Croisy prolonge ses questionnements sur le corps humain.

Lire la suite

Toute l’eau et rien que des gouttes

Passionné par la poésie et les mythes anciens, Harris Gkekas entreprend ici une fabrique de sa propre mythologie et d’un lexique chorégraphique proche du langage Pythique. Aux confins du rêve comme du cauchemar, oscillant entre quiétude et inconfort, sa pièce atteint quelque chose de substantiel, qui touche à l’essence de la danse, voire de la vie, en évoquant avec subtilité la croisée de nos chemins, la liberté, la solitude, la fragilité de nos entreprises et l’état de veille extrême que nous apprennent les mythes.

Fort d’un parcours d’interprète impressionnant de collaborations avec de grandes signatures – William Forsythe, Jiří Kylián, Merce Cunningham, Trisha Brown, Saburo Teshigawara... –, le chorégraphe invente ici une danse qui fait de chaque geste un mot, une image, un fragment qui murmure. Plus qu’une trame, c’est une toile énigmatique qui se déplie, un espace tonique et fécond où l’imaginaire circule librement.

Dans un dispositif scénographique minimal, la gestuelle reste tout aussi simple. La virtuosité ne se situe pas à l’endroit de la performance, mais dans l’intelligence de l’agencement et de la décomposition de ces mots-gestes. Reposant sur un parti pris stylistique très fort : un langage qui n’indique pas mais fait signe, ce travail évoque l’acte poétique lui-même, quand faire poème semble plus que jamais nécessaire face à une modernité frénétique, un lieu encore possible d’une insurrection contre le temps. Tel un opus testamentaire, il ouvre la possibilité d’un apaisement.

Trois danseurs aux parcours éclectiques s’imprègnent de poèmes de plumes virtuoses pour créer une « pièce-monde » qui met dos à dos simplicité et immédiateté, en quête de la splendeur endormie dans le ventre de nos actes. Une expérience mystérieuse, un rêve éveillé.

Lire la suite

Paris en toutes lettres

Bienvenue à une session Sonorium ! Installez-vous confortablement, venez à la rencontre d'un artiste et (re)découvrez son album en entier, grâce à des enceintes Hi-Fi au son exceptionnel.

Entre 1665 et 1674, La Fontaine a publié des contes bien loin des fables qu'on apprend à l'école... Beaucoup de ces textes ont été censurés car considérés comme des critiques de la monarchie absolue de Louis XIV. Fred Pallem, musicien de jazz, de rock, arrangeur, habitué du cinéma comme des Victoires de la Musique ou du Crazy Horse, a décidé de rendre hommage à 14 de ces textes.

En est sorti un album entier de lectures en musiques, sur lesquelles nous retrouvons entre autres les voix de Sandra N’kaké, Nicole Ferroni, Marcel Kanche, Rebecca Manzoni ou de et Thomas de Pourquery, baignées dans des arrangements où les rythmiques ciselées sont entourées d'un orchestre à cordes servant d'écrin au verbe.

Une interprétation singulière des oeuvres cachées du poète français.

LE DÉROULÉ

► Interview de Fred Pallem par Matthieu Conquet
► Écoute de l'album en son haute fidélité, sur des enceintes Focal Sopra n°3
► Discussion ouverte entre le public et l'artiste

Dans le cadre du Festival Paris en Toutes Lettres, La Maison de la Poésie, le Carreau du Temple et Sonorium invitent Fred Pallem pour une rencontre et écoute de son nouvel album "Fred Pallem et Le Sacre du Tympan racontent les Fables de La Fontaine".

Lire la suite

Yin

Inspiré du tai chi, de la danse derviche, de l’hypnose et du jonglage contemporain, le duo masculin happe le public dans une étrange expérience oscillant entre deux états extrêmes, transe et maîtrise de soi. Un moment de poésie dansée-jonglée ensorcelant.

Toupies hallucinantes, deux corps tournoient à vive allure, dans une ivresse corporelle qui cherche les limites du jonglage. Dans leur danse au rythme crescendo, atteignant une cadence impressionnante, chacun des deux interprètes porte une balle blanche, laquelle se déplace ou s’immobilise selon leur axe de rotation, par la force centrifuge. Les corps tournent sur eux-mêmes jusqu’au vertige.

Telle une méditation active, une métaphore vivante du mouvement des planètes en orbite autour du soleil, leur danse et leur jonglage se situent dans une approche dynamique de la vie qui distingue des éléments asymétriques mais égaux pour mieux les réunir.

Belle, épurée, émouvante, cette relation entre les deux danseurs, reposant à la fois sur leurs spécificités et sur leur complémentarité, nous rappelle que deux forces qui paraissent antinomiques, y compris les énergies humaines, se soutiennent l’une l’autre dans la puissance de la synergie.

Dans ce duo de danse derviche et de jonglage, le public partage l’expérience de la rotation depuis son fauteuil

Lire la suite

Klin d’œil 2021

Au retour des beaux jours, sous une forme festivalière, Klin d'œil invite les parisiens à découvrir, le temps d’un week-end, à flâner au beau milieu d’un panorama rafraîchissant de la jeune création française. La Halle se transforme en plateforme colorée et ludique, ainsi qu’en immense laboratoire de création pour petits et grands : cette année, chacun pourra fabriquer ses propres objets sous la baguette de professionnels tels que Dodo Toucan, Sokina, Atelier Carmin, Chaumière Oiseau, qui animeront des ateliers de peinture sur soie, couronnes de fleurs, sérigraphie doudous, punch needle, tampons…

Comme toujours, l’événement comble l’espace de multiples animations : une grande kermesse, des DJ’s set assurés par Axel Strummer & Bikini Pea, de la sérigraphie live par Brian Cougar qui, installé sur son printing bike, vous aide à personnaliser votre tote bag, une séance géante de yogamini parent & enfant menée par Ulrika Dezé, un corner douceur avec massages de Marion Brocard, flash tattoo, une cantine cosy et des concerts live le samedi.

Pour sa 20e édition, Klin d'œil présente une nouvelle sélection de plus de 70 artisans français émergents : Emile&Marie, Bôme, Léa Maupetit, LMK, Beya Rebaï, Dodo Toucan, Tot, Cassandre Bouilly, Soma, Marie Pellet, Harris M, Britney Pompadour, Maison fondée, les récupérables, Gira E Rigira...

Depuis 5 ans, Emilie et Virginie, les deux soeurs à l’initiative de Klin d'œil, ont ouvert leur propre boutique-galerie au 6 rue Deguerry, Paris 11e, un espace à l’image de leur événement, dédié au fait-main et aux petites séries, qui permet de prolonger le plaisir des découvertes.

Mode, décoration, enfants, beauté, bien-être, accessoires, bijoux... Retrouver un vent de légèreté, de créativité et de partage en ce printemps 2021 avec les sélections et ateliers DIY proposés par Klin d'œil, ça fait du bien !

Lire la suite

Virus

Dans les circonstances qui ont marqué le monde ces derniers mois, VIRUS offre à comprendre le regard d'Antoine d'Agata sur la crise sanitaire provoquée par le Covid-19 et ses résonances sociales et politiques. L’exposition présente une installation de 1 000 photographies sur les 13 000 réalisées par Antoine d’Agata entre le 11 mars et le 11 mai 2020 et préfigure la sortie le 29 octobre 2020 du nouvel Opus de l’artiste édité par le Studio Vortex.

VIRUS

Dès le premier jour du confinement consécutif à l’épidémie de Covid-19, Antoine d’Agata a parcouru les rues de Paris avec un appareil thermique pour enregistrer, à sa manière, l’épisode viral qui a fait de la ville un étrange théâtre d’âmes errantes, de têtes baissées et de corps fuyants. C’est comme « agent de contamination » qu’il s’est engagé dans l’expérience ouverte par l’épidémie et le confinement. D’abord attiré par la façon dont cet appareil thermodynamique enregistre les rayonnements infrarouges (ondes de chaleur) émis par les corps et qui varient en fonction de leur température, l’artiste a vite été fasciné par un processus qui réduit les sujets humains à des figures essentielles, dénuées de caractéristiques ou spécificités superflues.

Installé deux mois durant dans les bureaux de l’agence Magnum à Paris, il a utilisé la technique thermique pour rendre compte de l’imprégnation de la ville désertée dans le confinement : ville plongée dans le silence, traversée par des corps aux attitudes stéréotypées, habitée surtout par les sans-abris qui apparaissent, à l’image, comme les derniers corps véritablement vivants et résistants, les compositions austères et teintées de flammes offrant une vision alternative et dystopique des rues qui se vident.

LA VIE NUE

« En découvrant les photos d’Antoine d’Agata qui nous sont parvenues pendant le confinement, l’idée d’un film pour la 3e Scène s’est vite imposée. Une occasion de témoigner de ce moment où la création ne pouvait plus s’exprimer dans des théâtres fermés, mais par des formes inattendues. Bien loin de l’art lyrique, La vie nue témoigne de ce temps suspendu, de ces hôpitaux débordés et de ces villes désolées. »

La vie nue nous entraîne dans un voyage halluciné, depuis le décor incandescent de la ville confinée, où les rares rescapés errent sans raison, jusque dans l’hôpital, où les gestuelles des soignants et patients porteurs du virus deviennent rituels de vie et de mort. Antoine d’Agata transforme ces espaces opaques en un théâtre d’ombres vidé de tout semblant de réalité et oblitère la surface même des choses, l’épiderme des êtres et du monde, pour en révéler la dimension tragique.

Lire la suite

Les promesses de l’incertitude

Modalités de remboursement : Suite aux mesures gouvernementales et à l'annulation du spectacle, vous pouvez procéder à une demande de remboursement. Merci de contacter la billetterie : billetterie@carreaudutemple.org

Dans une large palette de beiges composée de cartons, de cordes, de bois et de poids déambule la silhouette aussi fébrile qu’agile de Marc Oosterhoff. Entre danse et cirque, sa performance semble déjouer les lois de l’apesanteur, nous défiant de comprendre tout ce monde en suspens.

Explorateur naïf d’un écosystème aux règles étranges, un personnage désarticulé y cherche son chemin et son équilibre, se promenant parmi d’improbables bascules, auxquelles répondent des nappes sonores cosmiques, cinématographiques ou industrielles créées au plateau par le musicien Raphaël Raccuia.

Doué d’une poétique corporelle et d’un sens du burlesque, le performer se frotte aux ressorts premiers du cirque, fondés sur les « promesses » tacites des interprètes : un lanceur de couteaux se doit d’atteindre sa cible, un dompteur de fauve, de ne pas se faire dévorer, un funambule, de rester sur son fil. Les Promesses de l’incertitude explore l’essence même de l’attention que porte le public à cette lutte entre deux forces sur scène, en pariant que la tension précédant l’action est plus intéressante que l’action elle-même, en ce qu’elle contient toutes ses potentialités et laisse le spectateur libre de les imaginer. À rebours de ces promesses, la danse, qu’elle soit expressive ou stylistique, incarne l’instant présent, la liberté, ne donne rien d’autre à attendre que l’inattendu. Le duo compose ici une forme rare d’art vivant mixte autour de la préciosité de l’incertitude.

Lire la suite